La troisième raison pour laquelle ce théologien veut qu’on évite les danses, c’est à cause du grand nombre de péchés qui s’y rencontrent, parce qu’on y viole les promesses faites au baptême, qu’on y pèche par tous ses membres, qu’on les y immole tous à l’impudicité ; et que les chansons lubriques que souvent on y chante, allument nécessairement le feu de la concupiscence.
La troisième salle était disposée dans celle qu’on nomme des gouverneurs ; on l’avait décorée d’étoffe bleue, ornée de galons et gaze d’or, ainsi que l’amphithéâtre pour la symphonie : elle était éclairée par une infinité de lumières placées avec art. […] Les cent-suisses occupaient la seconde salle ; les gardes-du-corps la troisième. […] Le 31 Janvier elle y alla pour la troisième fois, et l’on représenta l’opéra d’Hippolyte et Aricie. […] La troisième boutique était un café ; on lisait dans le cartouche le nom de Benachi. […] La troisième, portant le nom de Fredoc, était l’académie des jeux de dés, du biribi et du hoca, meublée d’un gros damas galonné d’or.