En France, on grave tout ; tout se conserve, et au bout de plusieurs années on est encore à même de comparer les différens dégrés de mérite ; ce qui est bon reste, et ce qui tombe dans l’oubli, a été jugé par le tems. […] En France, on respecte assez le talent et le style de chaque compositeur, pour y voir chaque ouvrage à part et en entier, afin de pouvoir juger quel dégré d’estime on doit à son auteur.
Je n’entendis point leurs paroles ; Mais tant Espagnols, qu’Espagnoles, Tant comiques, que sérieux, Firent, chacun, tout de leur mieux, Et, quelques-uns, par excellence, À juger selon l’apparence.