Milord ajouta qu’en applaudissant à sa métamorphose et a l’emploi honorable de ses momens, il étoit fâché de voir qu’elle traînât partout les sciences avec elle ; que ce pathos, et ce bomsonllage gàtoient une jolie femme ; que l’esprit qu’elle vouloit avoir, et après le quel elle courroit sans cesse, avoit gâté celui qu’elle avoit.
Th. de Rolleau, Curé de Notre-Dame-de-Lorette. » Vous le voyez, Lorettes, vous êtes les protectrices du temple, vous en êtes les blanches et sveltes colonnes ; sans vous, il serait peut-être tombé et avec lui serait tombé le joli nom que vous portez. […] Il y a à Paris trois jolies Lorettes : Lorettes d’élite, Lorettes-phénix, Lorettes-modèles, Lorettes-types, qui sont illustrées des surnoms de mousqueton, de baïonnette et de carabine. […] Admettons d’abord, lecteur, que vous soyez une jolie Lorette et que vous connaissiez un aide-de-camp du roi, ou un questeur de la chambre des députés, ou un député, ou même un capitaine de la garde nationale qui ne chante jamais la Marseillaise.