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102. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Ce sont neuf cris de joie qui s’élancent de la terre aux cieux, neuf harmonies dont la quinzième lettre de l’alphabet est la première modulation. […] Si la Lorette a une robe neuve, le père pleure de joie, et prie le fils ou le neveu du propriétaire de conduire sa fille au spectacle. […] Le mortier est un écho des peines et des joies de l’âme du pharmacien ; il faut être initié à son langage : quand il est compris, il efface en harmonie le couplet de facture du vaudevilliste et le langage fleuri de la basoche. […] Le nouvel arrivant ne sait que penser de cette formule de joie, quand on lui présente une fourchette au bout de laquelle est piquée une pomme. […] La Lorette a ses joies, ses haines, ses goûts, ses soupçons, ses amours, qui ont leurs formules spéciales.

103. (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108

Pas de joie sans tristesse, pas d’éloges sans blâme ; toujours un revers à la médaille.

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