Au moment de quitter Paris pour une excursion, elle anticipe sur les pensées de la nuit qu’elle va passer à la campagne ; et elle écrit par avance à son Arthur quelques phrases qui reflètent les tristes impressions d’une âme veuve. […] Le parrain a vingt-quatre ans, il baptise force Lorettes ; la première pupille en conçoit de la jalousie, elle transmet toujours par la poste ses impressions d’absence à l’auteur de ses maux.
D’où vient enfin ont-elles l’art de dérober la peine, de cacher le travail du corps, et les impressions désagréables et de substituer à la grimace qui nait des efforts, la finesse de l’expression la plus délicate et la plus tendre ?