Est-il étonnant que, connoissant si peu les divines beautés de notre sainte Religion, et ce qu’elle a d’intéressant pour le cœur, on n’ait de goût que pour la vanité du siècle et pour ses dangereux plaisirs ?
Quand il vit que je prenais goût à la lecture et désirais former un peu mon esprit, il m’ôta les livres des mains en me disant : « Apprends que quiconque se consacre à la danse est réputé bête et que c’est justement là notre supériorité.