Deux charmantes Fleurs de jeunesse, Sœurs de la précédente Altesse, Savoir Alençon et Valois, Extraites du Sang de nos Rois.
nous y reconnoitrons nos arbres, nos plantes, nos fleurs, nos fruits, notre simétrie, et nous serons surpris de ne voir dans cette composition que le jardin des Tuilleries, ou ceux de Trianon. […] Ce seroit manquer aux règles du goût et des convenances que de vêtir Apollon avec des peaux, de semer de Fleurs l’habit d’Hercule.