La mère de Darius, sa femme, ses deux filles, son fils encore en bas âge se trouvoient au pouvoir du vainqueur, et étaient réunis sous la même tente.
J’allai, sur la demande du médecin, chercher une femme de confiance qu’il me désigna dans la ville et qu’il chargea de veiller sur le mort et sur la jeune fille. […] Il ne se console pas de la perte de sa femme ! […] La femme qui me nourrissait et me battait en me faisant travailler pour son compte fut vite d’accord avec M. […] Mais le médecin s’y oppose, et donne des ordres pour qu’on le laisse seul avec son confrère et deux femmes de service, disant au malade que ce n’est pas grave pourvu qu’il se tienne absolument tranquille ; mais nous faisant bien comprendre par ses regards qu’il ne répond de rien et ne peut se prononcer.