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2. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205

On veut se prévaloir de la multitude des confesseurs indulgens pour les danses ; mais ne sommes-nous pas avertis par Jésus-Christ, de nous garder des faux prophètes  ; (Matth. c. 7, v. 15) et que, si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse ? […] e livre des rois, (c. 22.) que pour un seul véritable prophète, nommé Michée, qui eut le courage de dire la vérité à Achab, il se trouva quatre cents faux prophètes qui ne cherchèrent qu’à le flatter, et qui, en l’assurant qu’ils lui parloient de la part de Dieu, qui ne les avoit pas envoyés, l’engagèrent dans une entreprise qui lui coûta la vie. […] Dieu a permis par un très-juste jugement qu’Achab fût trompé par quatre cents faux prophètes, parce qu’il désiroit de l’être.

3. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »

Par cette fausse dénomination Quinault les aida lui-même à se bien convaincre, que sa composition n’était rien moins qu’un genre tout à fait nouveau. […] De là Paris, la Littérature, les Provinces, les Étrangers se formèrent une idée fausse du genre, qui s’est conservée jusqu’à nos jours, et que je ne me flatte pas de pouvoir détruire.

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