Il avait dans la tête toute une statuaire dansante, pour laquelle il manifestait son enthousiasme ou son dédain avec une vivacité qui m’intéressait, car il ne manquait pas d’esprit et trouvait toujours l’expression saisissante et pittoresque.
Il ne sent rien ; tout est faux chez lui ; sa danse n’a ni raisonnement ni expression ; et la musique qui devroit diriger ses mouvemens, fixer ses pas et déterminer ses temps, ne sert qu’à déceler son insuffisance et ses imperfections.