Par malheur pour les Arts et les talents, qu’il sait discerner et qu’il aime, il a préféré le repos aux agréments dont il était sûr de jouir dans l’exercice d’une charge à laquelle il était propre. […] Au milieu de l’avant-cour on avait élevé entre les deux amphithéâtres une espèce de terrasse fort vaste, qui devait servir à plusieurs exercices, et on avait ménagé tout autour des espaces très larges pour le passage des carrosses, qui pouvaient y tourner partout avec une grande facilité. […] Les danseurs de corde commencèrent ensuite leurs exercices, au son des violons et des hautbois : dans les vides de ce spectacle, les trompettes-marines et les cors de chasse se joignaient aux violons et aux hautbois, et jouaient les airs de la plus noble gaieté.
*** Dans la première quinzaine de l’année 1837, Fanny Elssler reprit ses exercices à son domicile où elle avait une installation d’appareils de gymnastique nécessaires à une danseuse.