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106. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

On avait prétendu qu’elle était infidèle à son amant et qu’un rival trouvé dans son appartement avait fait essuyer au duc un traitement peu digne d’un homme de qualité. […] Elle est d’une légèreté digne de Terpsychore.

107. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »

Quinault en voyait un131 digne de l’admiration de tous les siècles, où elles pouvaient être peintes avec le pinceau le plus vigoureux, et qui s’était emparé avec raison de l’Histoire.

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