Après m’être transporté sur les dessus et les dessous du théâtre, après en avoir parcouru les ceintres, examiné le char brisé de Phaëton, et le cheval fourbu de Persée, je descendrai dans les écuriers de Bellérophon, et vous rendrai le compte le plus exact possible de tout ce que j’ai vu depuis l’année 1740.
[4] J’ai donc écarté les idées de mes amis, que je remercie cependant, et je suis descendu dans mon propre cœur.