demanda l’autre. […] On croquait les bonbons, — on arrosait le bouquet d’un verre de malaga, — on lisait la lettre et l’on y répondait… Ces demoiselles d’à présent demandent bien encore s’il y a quelque chose pour elles… Mais elles ne s’arrêtent plus pour faire la dînette ou pour faire leur courrier. […] Et, lorsque j’admirais — il n’y a pas si longtemps — les extrémités de mademoiselle Hairiveau, il me prenait envie de lui demander : — C’est chez Pradier que vous vous êtes fournie, n’est-ce pas, mademoiselle ?
* * * J’avais demandé récemment, en m’apitoyant sur la léthargie chorégraphique (et qui tous les jours s’aggrave) de l’Opéra-Comique, ce qu’on faisait de Mlle Vronska.