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263. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63

J’aime mon art ; on doit chérir l’objet qui contribue à notre réputation et à notre subsistance : mais je ne l’aime point d’un amour effréné ; je ne dirai pas dans l’effervescence d’un enthousiasme aveugle, que c’est l’art par excellence ; je me garderai bien de le mettre en parallelle avec la poésie qui dit tout, et avec l’architecture qui ne dit rien ; je conviendrai de bonne foi que les programmes sont les truchemens de la pantomime au berceau ; qu’ils indiquent le trait historique ou fabuleux : qu’ils expriment clairement ce que la danse ne dit que confusément, parceque nos danseurs ne sont ni Grecs ni Romains.

264. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-

Il s’agit seulement de savoir si la danseuse doit exprimer le chagrin qu’elle ressent de la perte d’un être aimé ou si elle doit montrer à des gens en deuil la résignation et l’espoir en un futur meilleur.

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