Ce Prince, en descendant de son char, est reçu par sa famille et par tout ce qui compose sa cour ; il embrasse Clytemnestre et se jette dans les bras d’Electre et d’Iphise ; le perfide Egisthe tombe à ses genoux et le peuple transporté d’allégresse s’empresse de témoigner au vainqueur de Troye son admiration et son respect.
Horace de Viel-Castel dit dans ses Mémoires : « Véron, c’est le bourgeois gentilhomme du dix-neuvième siècle27 », et ailleurs : « Véron joue un rôle et il le joue bien ; c’est l’insolence élevée à la plus haute puissance et qui a su tirer parti des éléments impurs qui composent le fond de notre marais social.