J’ignorais totalement qui cela pouvait être, et cherchais toujours lorsqu’au théâtre on me présenta la carte d’un monsieur qui désirait me voir. […] Sur le pavé, sans amis, sans le sou, malade, elle m’envoya chercher… L’ai-je aidée ?
Un jeune enfant effrayé et mouillé par l’orage, court avec précipitation ; il cherche un azile au milieu des jeunes Athéniennes ; Cryséïs le reçoit dans ses bras ; il a peur, et peint sa situation ; il tremble de froid, pleure, et intéresse ces jeunes beautés ; il vole des bras des unes dans ceux des autres ; mais il revient sans cesse dans ceux de la belle Cryséïs ; il se couche sur son sein, l’embrasse et partage ses tendres caresses entre elle et le jeune Hyménée. […] Les Athéniennes libres cherchent avec empressement le jeune enfant, qui, pendant cette action, s’étoit caché derrière un buisson de roses.