Ils auraient sur nous la même emprise, ébranlant jusqu’à la profondeur de notre âme, que l’élan vertical des clochers gothiques, l’ordonnance d’une colonnade antique, les masses et les ombres d’une cathédrale baroque, une fugue de Bach ou le chant d’un rossignol.
C’est, dit-il, par le chant des psaumes, et non par des divertissemens ridicules : c’est par le chant, non des cantiques du diable, qui sont les mauvaises chansons, mais des cantiques du Seigneur. » Venez, continue David, (v. 6.) Adorons-le, prosternons-nous devant lui ; et pleurons devant le Seigneur qui nous a faits : le prophète ne dit pas : Jouons des instrumens pour nous divertir ; mais chantons les psaumes : ce chant met en fuite les démons.