On lui appliqua le mot de Tieck : « C’est un de ces chants suaves qui ne touchent point la terre, qui passent d’une marche ailée dans l’or du crépuscule et de là-haut saluent le monde. » D’autres soupiraient un vers italien : E passato il tempo che Fanni ballava. […] On l’accusa de laisser, par son incurie, tomber complètement la danse à l’Opéra et de ne s’intéresser qu’au chant ; on oubliait qu’à d’autres moments on lui adressait le reproche contraire.
Elle imitoit les accens de la nature : sans être d’un chant uniforme, elle étoit harmonieuse.