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389. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189

Mais elle est revenue enfin l’enchanteresse, Plus belle que jamais de grâce et de jeunesse : De ses bravos encor Paris la saluera.

390. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

Le marquis de Massa lui apprenait la boxe ; mais, quand les leçons particulières étaient trop orageuses, elle allait à Fontainebleau se reposer aux lanciers de la garde, dont le beau comte de M… était le plus élégant officier.

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