Et je me demande si son amitié, si solide et si sûre, n’est pas intimement confondue avec l’amour de la forme, de la couleur et de la lumière que j’ai synthétisé, à ses yeux, lorsque je lui apparus pour la première fois ?
Le fruit qu’on doit s’appliquer à retirer de la célébration du dimanche et des fêtes, c’est de réveiller et d’enflammer davantage en soi l’amour de Dieu et des biens célestes, en s’y occupant particulièrement des grâces qu’on a reçues de lui, et des biens qu’il nous promet pour l’autre vie.