Ils gémissent à la vue de ces productions bizares qui, à la honte de l’architecture, s’élèvent dans différens quartiers de la capitale, et ils fuient, lorsque jettant leurs regards sur le cy-devant Palais-Bourbon, ils apperçoient les fondemens placés sur les toits. […] Lorsque le gouvernement fera élever de vastes édifices et de grands monumens, il trouvera des artistes capables de les exécuter ; et en immortalisant leurs noms par des chefs-d’œuvre, ils contribueront encore à la gloire de la nation.
Cependant n’est-ce pas pour lui un devoir indispensable de s’élever souvent contre la source de tant de maux ?