Première grande division du genre : 1° La Lorette sous puissance de père et mère. […] Sa mère prend son café dans un pot de fleurs. […] L’Arthur de la Lorette en puissance de père et mère est presque toujours un clerc d’huissier, un auteur de vaudevilles ou un commis pharmacien. […] Une Lorette mère disait en montrant sa fille : Voilà ma plus belle ouvrage. […] La Parisienne se fait cuisinière, la Lorette se travestit en cordon bleu, en demoiselle Marguerite ; elle est mère nourrice, hôtelière : elle va faire son marché.
Et cependant quelle distance encore entre ces portraits isolés et l’ensemble d’une grande histoire, telle que le Sacrifice d’Iphigénie, l’Entrevue de Coriolan avec sa Mère ; Médée qui déchire ses enfants ; ou Clytemnestre qui fait assassiner Agamemnon !
Mon père et ma mère étaient avec moi et nous prenions nos repas dans une très modeste pension.
Il a été adopté par une vieille fille qui, n’ayant point de fortune à lui laisser, a eu le grand sens de lui faire donner une bonne éducation dont il a eu l’esprit de profiter, et maintenant il aide sa mère adoptive à vivre dans une certaine aisance.
Si j’eusse voulu épuiser mon sujet et en développer les nombreuses ramifications, il m’eut été facile d’entasser volume sur volume ; mais, et je l’ai déjà dit, je me suis attaché surtout à exposer avec clarté les premières notions de la danse ; j’avais en vue les mères de famille, et même les institutrices qui pourront facilement, moyennant une légère application, suppléer à l’absence d’un maître en consultant ce petit traité.
Mademoiselle Des-Oeillets, Qui dans ses Rôles, ou Rôlets, A paru toujours admirable, (D’autres disent incomparable) Ayant, et lance et coutelas, Faisait la Guerrière Pallas, Et du sieur Monfleury la Fille, Qui d’un air assez charmant brille, Et mieux que ses riches atours, Était la Mère des Amours, Dont tous trois de l’honneur acquirent, Et firent bien tout ce qu’ils firent.
On raconta que sa mère était une marchande de légumes qui la portait, toute petite gamine, sur son dos dans une hotte, à la leçon de danse. […] Fanny ne pouvait laisser sa mère dans une condition misérable, pendant qu’elle-même aurait vécu dans l’opulence. […] Elle perdit coup sur coup Gentz, le 9 juin 1832, et sa mère, le 28 août. […] Deux philanthropes, les époux Grote, s’intéressèrent à l’enfant, l’adoptèrent en quelque sorte et le gardèrent de longues années jusqu’au jour où la mère, retirée du théâtre, put lui consacrer toute sa tendresse.
Notre Histoire embrasse en effet toute cette étendue de siècles ; mais il doit connaître principalement les Fables les plus célèbres, comme celles de Saturne, la bataille des Titans, la naissance de Vénus, celle de Jupiter, la supposition de sa mère, la révolte des Géants56, le vol de Prométhée, et son supplice, la formation de l’homme.
je la connais ; on en parle dans l’Indépendance belge, même que cela scandalise ma mère.
Iphigénie en Tauride est la suite d’Agamemnon ; Oreste, après avoir vengé la mort de son père, et assassiné involontairement Clytemnestre sa mère, fut tourmenté par les Euménides. […] L’ombre en soulevant une partie de son voile, lui découvre la plaie encore saignante qu’elle a reçue de lui ; Oreste frémit et recule d’horreur ; ses cheveux se hérissent ; les furies s’emparent de lui, et dans l’égarement de son esprit, il poursuit en furieux l’ombre de sa mère qui disparoît.
Créuse et Jason commencent à se tranquilliser ; le visage de Créon s’adoucit, un des enfans lui présente humblement le coffret de la part de sa mère ; Médée prend elle-même le bouquet, et paroît se faire gloire d’en orner sa rivale ; elle la serre étroitement dans ses bras avec les démonstrations de la bienveillance la plus sincère ; elle fait ses tendres adieux à Jason ; elle l’unit à Créuse, en feignant de demander au ciel de combler de faveurs une union si parfaite.
Puis elle faisait monter sur elle sa femme de chambre, lui ordonnant de peser, de tout son poids, sur cette partie du corps où, comme le disait ce farceur d’Arnal, le rein change de nom. » Et M. de Boigne d’ajouter dans ses amusants Mémoires : « Avec le temps, elle s’habitua si bien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa mère et sa sœur.
.° 31) Saltat sed adulterœ filia ; et il en prend occasion d’avertir les mères chastes et chrétiennes, « d’apprendre à leurs filles, non à danser, mais tout ce qui appartient à la Religion : Quæ verò pudica, quæ casta est filias suas religionem doceat, non saltationem ». […] Combien voit-on de mères qui se glorifient de ce que leurs filles ont bonne grâce en dansant, et qui n’ont pas honte de les laisser dans une très-grande ignorance des vérités de la Religion !
car il faut vous l’avouer, Giselle a un défaut, du moins c’est sa mère qui le dit : elle est folle de danse, elle ne songe qu’à cela, elle ne rêve que bals sous la feuillée, valses interminables et valseurs qui ne se fatiguent jamais. […] » À ces sages remontrances maternelles, Giselle répond ce que toute fille répond à sa mère qui lui rappelle que l’heure est bien avancée : « Je ne suis pas lasse, encore une petite contredanse, rien qu’une. » Au fond, l’incorrigible enfant n’est pas très alarmée de cette menace.
Jules Janin, la bête noire de ma mère.
Il aurait dit du mal de moi certainement, et ma mère ne se serait plus contenue.
Par un miracle inattendu, le temple élevé à Lybas et l’autel s’écroulent ; les jeunes Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ; les mères ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; les pères peuvent se livrer sans trouble à l’espoir de voir renaître leur postérité, et Eucharis peut posséder ce qu’elle chérit.
Cette pensée le détermine à peindre Campaspe sous la forme de la mère des amours.
Ma mère était aussi terrifiée que moi-même.