Egli nel tempo dell’istesso giro cambia due e tre volte piede, senza fermarsi ed interrompere il giro, cosa veramente di eterna ammirazione: ma quello che reca più stupore si è, mentre serve nel giro con tutta la possibile celerità, si ferma improvisamente e resta in aplomb con una franchezza sì particolare, che immobile resta in quello equilibrio.
Nous aurions préféré rester à attendre tranquillement devant le rideau baissé que de subir ces auditions blafardes où l’on gâche de la belle musique.
Si avverte che quando si distende il ginocchio del piede che forma il cerchio, l’altro su cui resta il corpo appoggiato si distende pure; qual distesa si fa tratto tratto principiato il cerchio e nel mentre ch’esso si forma.
Les traces qui en restaient dans son imagination, rendaient son humeur égale, sa conversation gaie, son commerce facile. […] Il mourut, et Pylade pendant quelque temps, resta seul maître sans contradiction du champ de la gloire ; mais sa fierté, ou son humeur, mirent bientôt de nouveaux obstacles à sa tranquillité.
Non mi pare che bastar dovrebbe il dir che un piede resta in aria, senza dirsi in qual situazione. […] Delle forzate [20] La necessità che abbiamo di saper queste posizioni in aria, stimo pur per le “forzate”, numerandone tre di queste, escludendone la prima e la terza, che non ammettono sforzatura veruna, e parlaremo: [21] Della “seconda”, di cui altro non mi resta a dire che, ove nella vera la distanza da tenersi tra tallone e tallone esser deve di un piede, in questa sforzata sarà di più, secondo ricerca il bisogno, non avendo distanza determinata.
[2] Volendola fare “avanti”, si metterà in quarta posizione col destro per esempio avanti al sinistro, equilibrasi il corpo su tutti due i piedi, quindi piegansi i ginocchi, e distendendo il destro si porta alla quarta in aria, che posatolo appena in terra, col piè sinistro si glissa leggermente la terra e portasi in quinta sotto, e da questa istessa posizione se ne puol secondare un’altra, e quante mai se ne vorranno, perché sempre il piè di sopra resta sopra, e sotto quel di sotto.
IX Le rythme en est resté, dans la plupart des hommes, à la numération si simple de l’origine : le battement du cœur, le souffle respiratoire, cette mesure à deux temps ou à quatre ; et la marche qui est fonction des deux autres mouvements.
Tant qu’ils restèrent dans une sorte d’équilibre, Auguste les laissa se débattre, se ridiculiser, se déchirer mutuellement ; mais une circonstance qui intéressait le bon ordre, ou peut-être son amitié pour Mécène64, l’engagea de se déclarer pour un temps en faveur du parti de Bathylle. […] Il ne lui restait plus de liberté que dans ses Spectacles, et Auguste avait la barbarie de la lui ravir.
Les Noces de Gamache, ballet en deux actes, de Milon et Lefèbre, qui dataient de 1801, restèrent également en honneur. […] Il n’était pas possible que l’Académie de Musique restât la Bastille inviolée de traditions surannées. […] La Malibran voulait faire d’elle une cantatrice ; Perrot l’engageait à rester fidèle au ballet ; il l’emporta. […] d’agilité pétulante, il ne lui en restait guère en 1830. […] Le soir, lorsque Louise eut exécuté son pas d’ordinaire le plus applaudi, la claque resta muette, et, dès lors, parmi les spectateurs, personne ne bougea.
Aussi sont-elles restées sans réponse. […] Poule mouillée, va ; — moi, je suis resté dix-huit jours sans dormir, on ne s’en apercevait pas seulement ; le dix-neuvième, j’étais tout à fait abruti, je n’aurais pas trouvé un mot… Premier gandin. […] Il est une heure et demie, faut trouver un moyen de s’en aller, nous ne pouvons rester ici toute la nuit, — si en baissant ton voile et en marchant très-vite, tu tâchais de l’éviter… L’actrice.
Ce sont là des souvenirs qui datent un peu mais qui me restent présents et agréables.
Plusieurs d’entre eux ne savent ni la lire ni l’apprécier ; tout le bénéfice reste aux compositeurs : ils ont l’art de faire payer chèrement leurs productions : le public, amateur de nouveautés, achète tout, et est trompé à son tour : enfin, la plupart de ces ouvrages sont éphémères ; ils restent long-tems entassés sur les rayons des marchands, qui finissent toujours par les vendre à la livre. […] Il nous restera, Monsieur, Gluck et Sacchini.
VII § 2); dappoi rivoltasi la punta del destro in fuori, con tenere il tallone a terra, e subito volgendo il tallone dell’altro, fissa la punta a terra, con farlo passare avanti del destro, si resta in terza vera col manco sopra.
Sa composition renferme deux façons de sauter differentes l’une de l’autre ; sçavoir, plier pour sauter & retomber plier, & l’autre étant plié est de se relever en sautant : ainsi, si vous voulez le faire du pied droit, ayant le corps posé sur le pied gauche, il faut plier dessus & la jambe droite qui est en l’air s’ouvre de même tems à côté ; mais lorsque vous vous relevez en sautant, elle se croise devant la gauche à la troisiéme position en tombant sur les deux pieds, & restez plié pour vous relever en sautant du même tems, sur le pied droit ce qui termine ce pas.
[3] Quelli “indietro”, tutto al contrario, principia innanzi ed ha fine “indietro”, e si fa così: sia verbigrazia il dritto in quarta avanti, dopo la piegata passa questo istesso, segnando il mezzo cerchio, in quarta addietro gittandolo, ed il manco, che resta avanti, subito va indietro in quarta ancora, ed il dritto va pure in quarta addietro.
Representation des mouvements des poignets Coudes et de l’épaule [Légende intérieure] 5 de haut en bas [+ à gauche] Rond du poignet Rond du coude [+ à droite] Rond du coude Rond du poignet 6 plie des bras 8 [+ à gauche deux fois] de bas en haut [+ à droite deux fois] de bas en haut Comment les bras doivent Rester [+ à gauche] Relevé tombé [+ à droite] tombé Relevé Ainsi pour les mouvoir de haut en bas, les bras étant placez comme ils sont representez 5. il faut plier le coude & le poignet, de même que ces mots rond du Coude, rond du Poignet, vous le marquent ; & lorsque les bras sont pliez 6. vous achevez de l’étendre 7.
Se si resta chiuso, la Capriola sarà presa all’Italiana e terminata alla Francese; all’opposto di quella presa alla Francese e finita all’Italiana. […] Gorguglié [20] La Gorguglié è una Capriola antica, la quale si prende con Dégagé girando, e poi nel salto la vita si tiene dritta perpendicolare, le gambe, le cosce in linea piana parallele alla terra, una starà distesa ferma e l’altra farà il Tordichamb: nel cadere, si cade su quella gamba che stava distesa, e l’altra con qual si fece il Tordichamb resta in aria; e tra il Dégagé e il Salto si farà un giro intiero. […] IV), si piega il ginocchio, e distendendolo, si salta passandolo per sopra all’altro, che si tiene sempre disteso, cadendosi sul medesimo piede su cui prima il corpo stava appoggiato, con darsi nel salto un giro intiero al corpo, e resta sempre l’istesso piede in seconda in aria. […] Come una palla di cuoio gonfiata di vento e cacciata in aria, sbucata in aria stessa, quando perda l’aria racchiusa, che la teneva in elasticità, nel cadere resta su il medemo terreno: ma se conservasi ripiena del vento medemo non resta nel proprio terreno, ma risalta altra volta. […] Si comincia ella con un piede alla seconda in aria, e sia questo per esempio il destro, si salta sul sinistro, s’intreccia e si cade su dell’altro piede o sull’istesso su cui si saltò, ed un resta distaccato alla seconda in aria.
Et si les observations directes effectuées pendant les leçons ont pu m’inspirer quelques jugements nouveaux, eh bien, ils resteront des jugements à huis clos. […] Puis on s’en ira : les professeurs resteront à travailler pour eux-mêmes ; on répétera pendant l’après-midi et le soir on dansera : voilà cette existence qu’on aime croire frivole et évaporée.