vous verrez que lorsqu’ils portent le pied droit en avant, ce sera le bras gauche qui s’opposera naturellement ; ce qui me paroît estre une regle certaine.
Or, entre ces divers Fredons, Dont peu portaient des Espadons, On en vit un, de tous le Maître, Et qu’on put aisément connaître, Malgré tout vain Déguisement, Fredon tout Royal et charmant, Que nos TÊTES à DIADÈMES Composaient vraiment Elles-mêmes, Avecque plusieurs de leur Cour, Tant en riche que simple Atour.
Le Saint-Esprit, parlant en particulier dans la livre des proverbes, des personnes de l’autre sexe dont la fréquentation et les entretiens sont plus dangereux, parce qu’elles sont plus portées et plus propres à séduire ceux qui ont l’imprudence de s’arrêter avec elles, dit de ces sortes de personnes : (Prov. c. 5, vv. 3 à 8.) […] L’auteur du traité contre les spectacles, dit : « Que fait au spectacle un chrétien fidèle, à qui il n’est pas permis de penser volontairement aux vices, ces pensées lui en faisant perdre la retenue, et le rendant plus hardi à se porter aux crimes ? […] « Il faut donc, conclut-il, détourner notre esprit et notre cœur de toutes ces choses qui ne peuvent que porter au mal : Avocandus est animus ab istis.
Après que l’on a fait les reverences qui se font ordinairement avant de danser ; & de même que je les ay representées ci-devant : en vous relevant de votre seconde reverence, vous laissez poser le corps sur le pied droit ; & vous portez le pied gauche à la quatriéme position, & posez le corps dessus en presentant la main à la Demoiselle & en faisant un tems de Courante : ensuite vous commencez le pas de courante, par un demi-jetté du pied gauche, & ensuite un coupé du pied droit, ce qui termine le pas de Courante (& fait voir la difference du pas au tems) & vous en recommencerez une autre du pied droit, en faisant un demi-jetté de ce pied & un coupé du gauche ; mais comme tous ces differens pas vous conduisent dans une figure reglée, qui forme une espece d’ovale longue, mais à ce dernier coupé, vous recommencez de faire un pas, marchez du pied gauche, & un tems de Courante ou pas grave du pied droit, & recontinuer les demi-jettez & les coupez ; ce qui se repete dans tout le courant de cette danse, & comme je n’entreprends pas de décrire les figures des danses, je laisse ce soin aux Maîtres de conduire leurs Ecoliers : de plus c’est que cette danse n’est plus en usage, non plus que les autres Courantes figurées de ce tems là, comme la Dauphine, la Duchesse, & la Bocanne, qui étoient de parfaitement belles danses, & que les personnes qui seront curieux de les sçavoir, pourront avoir recours à la Choregraphie.
La contraction des muscles dans les efforts du saut roidit les articulations, et contraint chaque partie à rentrer dans sa place et à revenir à sa forme naturelle ; les genoux, ainsi forcés, se portent donc en dedans, ils reprennent leur volume ; ce volume met un obstacle aux battements de l’entrechat. […] « La natura opera ed insegna senza alcun discorso del saltatore, che quando vuol saltare, egli alza con impeto le braccia e le spalle, le quali seguitando l’impeto, si muovono insieme con gran parte del corpo, e levansi in alto, sino a tanto che il loro impeto in sè si consumi : il qual impeto è accompagnato dalla subita estensione del corpo incurvato nella schiena, e nella giuntura delle coscie, delle ginocchia e de’ piedi, la qual estensione è fatta per obbliquo, cioè innanzi ed all’insù ; e così il moto dedicato all’andare innanzi porta innanzi il corpo che salta, ed il moto di andare all’insù alza il corpo, e fagli fare grand’arco, ed aumenta il salto. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci, Traité de la peinture, ch.
L’esclave va porter ce billet, et Belton se retire. […] Les colons leur otent la petite chaîne qu’ils portent en signe d’esclavage ; les nouveaux affranchis tombent aux pieds de leurs libérateurs ; mais ceux-ci les relèvent et les embrassent en signe de fraternité.
Elle doit à elle seule sa transformation : elle a appris, on ne sait comment, à porter son châle, à se rouler dans un cachemire ; elle arrive à la contrefaçon de la femme d’agent de change ; seulement, on la reconnaît, quoi qu’elle fasse, au fanatisme qu’elle professe pour la sous-jupe Oudinot. […] Amélie, tu ne dis rien… Joséphine, regarde encore… huit francs… Avec le cadre… huit francs… Et on le portera à domicile, moyennant un franc qu’on donnera à ma bonne. […] Une autre : Monsieur le préfet, Éprouvant le besoin de prendre ma demi-tasse à l’estaminet, je vous prie de m’autoriser à porter des vêtements masculins. […] La Lorette est réduite à porter ses pénates économiques rue Navarin, rue Neuve-Bréda, rue de Laval, rue Fontaine-Saint-George, rue de La Ferrière, où elle rencontre encore, sans bourse délier, des domiciles provisoires. […] Quelles femmes, parfois discrètes, Afin d’alléger leurs trousseaux, Portent, dans les jours de disettes, Leurs burnous ru’ des Blancs-Manteaux ?
— Après la danse elle est si fatiguée, qu’il faut la porter chez elle et elle se couche de suite. […] La première chose que miss Fuller vit, c’était des mouchoirs « Loïe Fuller », et elle fut surprise de constater que quelqu’un d’autre portait le même nom qu’elle. Et lorsqu’on lui dit : « Mais pas du tout, ces mouchoirs portent votre nom », elle répondit : « Comment cela peut-il être ?
Je vous parlerai bientôt des progrès successifs de cet art qui fut porté au dernier degré de perfection il y a vingt cinq ans, et dont les taches légères n’empêchent pas qu’il ne soit aujourd’hui le plus fêté et le plus aimable.
Mais observant de ne la pas porter plus loin que la grandeur ou distance du pied entre les deux mêmes, ce qui est la proportion du pas, mais il faut poser le talon avant la pointe ; ce qui fait avancer le corps sur le pied que vous posez, au lieu que si vous posiez la pointe la premiere elle rejetteroit le corps en arriere, & vous fatigueroit infiniment.
Enfin, les neufs Muses célestes, Mignonnes, gracieuses, lestes, Ravissants les cœurs et les yeux,15 Par leurs pas concertés des mieux,16 Et Jules Du Pin avec Elle, Qui de l’Amour portait les ailes, Finirent agréablement Ce rare Divertissement, Que Saint-Aignan, illustre Comte, Dont la France cent biens raconte, A très agréablement inventé Par ordre de Sa Majesté.
Je me souviens qu’un jour un gandin de la plus belle venue m’a demandé très-sérieusement comment se portait mon père, M. […] Je venais de danser un quadrille, et, malgré ma modestie bien connue, on avait exigé de moi que je me laissasse porter en triomphe.
Tertulien parle encore de ceux que l’on condamnoit à paroître avec une chemise brûlante, pour représenter la mort d’Hercule : & au Traité qu’il adresse aux Martyrs, il parle de ceux qui se louoient aux Pantomimes pour porter durant quelque tems cette chemise brûlante sur le Théâtre. […] Il ne faut que voir danser une Entrée de Chaconne par Ballon, une Entrée des Vents ou des Furies par Blondy, une Entrée grave & sérieuse par Lestang, une de Paysans par Dumoulins, & la danse du Caprice par la Prevost, pour juger qu’on ne peut porter plus loin la perfection de la danse Théâtrale ; sans parler d’une infinité d’autres qui charment les spectateurs.
Nous jouissons de nos jours d’un chanteur et d’une chanteuse qui ont porté le goût, la précision, l’expression, et la légèreté du chant, à un point de perfection qu’avant eux on n’avait ni prévu ni cru possible. […] Le nombre des sujets dont l’opéra de Paris est composé, son établissement stable, ses ressources, ses revenus, et le goût des Français pour ce spectacle, sont de grands moyens pour le porter à un point de perfection et de magnificence auquel il n’est point encore parvenu, et qui semble ne dépendre maintenant que de très peu de circonstances.
Se vuol farsi con maggior alzata allora fa bisogno prenderla con un Contratempo, e saltisi sul piè che sta addietro, cacciandolo avanti e seguendo poi l’intrecciata come sopra, ed allora questa ha tempo di un’Ottava, perché, secondo il mio sentimento, quel piede che da dietro si porta avanti conta due tagli, e non deve contar l’istesso, qual si conta quando si piglia, essendo questi avanti. […] Si vorrà fare esempigrazia una Capriola battuta avanti e contare i suoi tagli, si metterà in quinta col destro per esempio avanti, indi si stacca in seconda in aria, ed è il taglio primo, portasi altra volta in quinta avanti, e sarà una seconda, di nuovo si stacca alla seconda in aria, e si avrà fatto una terza, si porta poi alla quinta avanti, e sarà una quarta battuta; e così seguendo a contare i tagli, per quanti essi saranno avrà nome la Capriola, che sarà sempre di numero dispari, cadendo sopra un piede; cadendo sopra tutti due chiusi sarà di numero pari. […] [32] Si possono far pure rancignati, e sono che il piede cui si passa sopra sopra si porta ritirato. […] Se a fior di terra, si prende con un Contratempo che non sia volato, o con un Dégagé, ed allora si attacca la Capriola suddetta, la quale non avendo la grande alzata, non si porta il Corpo in linea piana per aria, ma alquanto obbliquo. […] [77] Si distingue questo carattere di Mulinaro alla Francese dall’Italiana: in questa veste una tunica succinta fino al ginocchio, e le maniche lunghe come quelle di Pulcinella; alla Francese veste a vita con le maniche strette fino a’ polsi, e porta i suoi bottoni.
Le caractere que j’ai l’honneur de porter, m’auroit empêché de le faire, si j’avois crû que le témoignage que je rends sur cet Ouvrage, eût tiré à consequence contre la bienséance & la circonspection que je ne dois jamais perdre de vûe.
La Reine Catherine de Médicis porta ce genre à la Cour de France, et ne l’y fit servir qu’à une espèce de manège domestique.
Contiene anche due movimenti, il primo de’ quali si è il piegato, con cui unitamente si porta il piede dalla banda che si dee girare, ed il secondo si è il rialzato, con cui si termina il giro.