Secondement, les Danses des Fêtes particulières des Anciens furent appelées du même nom générique qu’on donnait à la Danse3 théâtrale. […] Ils firent des mots sans nombre pour expliquer les différentes Danses qu’ils exécutaient : chacune a son nom qui la distingue.
Ainsi, dans toutes les premières Églises, on pratiqua un terrain élevé, auquel on donna le nom de Chœur.
La vérité, sous le nom d’Alithie, était tranquillement couchée à un des côtés du Théâtre.
Quant aux Canaries elles y sont aussi fort en vsage, mais leur origine est incertaine, les vns disent qu’aux Isles de ce nom là ceste danse est ordinaire, mais i’ayme mieux ceste opinion, que comme plusieurs de nos airs de Courante ont este tirez de quelques Balets, les Canaries viennent aussi d’vn Balet où les Danseurs representoient les Roys & Reynes de Mauritanie desguisez en Sauuages couuerts de plumages de diuerses couleurs.
Son nom est à jamais lié à l’époque héroïque du ballet russe, époque marquée par l’avènement de la musique nationale à la scène chorégraphique, par la suprématie de la danseuse russe triomphante de la virtuosité italienne, époque qui prépara l’hégémonie mondiale de ce ballet.
Mais tout de suite il a été suivi de près par les Mordkine, les Valinine, les Joukoff, les Novikoff, les Smolzoff à Moscou, par les Vladimiroff, les Romanoff, les Vilzak à Pétrograd — et j’en passe pour éviter au lecteur une nomenclature fastidieuse et peu intelligible de noms en « off ».
Vous me parlez, dans votre lettre, de fêtes publiques ; vous êtes bien bon, Monsieur, d’honorer de ce nom ce que l’on a fait et ce que l’on a imaginé depuis quelques années.
C’est un garçon d’un vrai mérite et que je connais depuis longtemps ; je l’ai eu pour élève durant mon professorat au collège de… Il s’appelle Juste Odoard, nom de fantaisie ou pseudonyme, comme vous voudrez, car il sort des Enfants-Trouvés.
Cet ouvrage étant fait depuis plusieurs années, les noms des jeunes artistes qui excitent en ce moment, à l’Opéra, l’enthousiasme du public, ne peuvent s’y trouver. […] D’un seul nom quelquefois le son dur ou bizarre Rend un poëme entier ou burlesque ou barbare. […] Il est désigné dans ce chapitre, sous le nom de Bathyle. […] Nom qui désigne un air très-lent, à trois temps. Jadis on se servait de ces noms pour indiquer le mouvement et le caractère de l’air.
Mais je suis heureuse, surtout, d’avoir pu réunir, dans une même page, les noms de deux maîtres de la forme, qui m’ont profondément émue et que je vénère affectueusement dans le fond de mon cœur.
Cette idole précoce a nom Mlle Juliette Bourgat ; selon la hiérarchie chorégraphique, c’est là un « petit sujet » — mais qui grandira.
ou la renommée, en proclamant le nom, et les Vertus de Périclès, en annonçant la sagesse de ses loix, la douceur de son gouvernement, et son amour pour tout ce qui portoit le caractère imposant du beau, et de l’utile, les auroit-elle séduits au point d’abandonner leur patrie ?
Son nom et sa célébrité n’étoient-ils pas suffisants ?
Chapitre V marie taglioni Quatre femmes, toutes quatre danseuses, portèrent, avec un éclat inégal, le nom de Taglioni, célèbre dans les annales de la chorégraphie. […] Elle avait une sœur, réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’un gentilhomme italien, faisait dire : « Voir Venise et la belle Contarini. » La troisième du nom, Marie, nièce des deux précédentes, est l’héroïne dont nous allons résumer l’histoire. […] Le livret de ce ballet en deux actes était de Nourrit, le ténor, la musique de Schneitzhœffer, le compositeur au nom barbare. […] Elle épousa, en 1832, le comte Gilbert de Voisins, un des familiers de Véron, qui passait pour une des plus mauvaises têtes du royaume, et que Joseph d’Arçay juge ainsi : « Enfin une des physionomies les plus curieuses de ce temps-ci, un homme plein d’élégance et d’esprit, portant facilement un des grands noms parlementaires de notre pays, le comte Gilbert de Voisins, le mari trop célèbre de la célèbre Taglioni, qu’il était assez plaisant de voir accepter en riant et remplir, comme il l’aurait fait à la cour de Louis XV, la charge d’intendant des menus chez l’ancien directeur de l’Opéra.
Ici le ton perdit de son assurance, quand la voix reprit : — Vous ne devez pas connaître mon nom, monsieur… On ne le connaît pas ici… C’est Loïe Fuller… Je viens de l’Ouest… pour tâcher de trouver un engagement… Je ne joue nulle part pour l’instant,… mais je pense que cela… n’a pas d’importance… et que peut-être vous me laisserez tout de même… la voir si… je vous le demande. […] Il y avait encore d’autres invités, dont j’ai oublié les noms, tant ma pensée était pleine d’elle seule.
Maillot, — a attaché à jamais son nom. […] *** Son maillot tendu sans un pli, la danseuse enfile une sorte de jupon-caleçon de mousseline, bouffant aux hanches, fermé au-dessus, — bien au-dessus, — du genou, quelque chose comme le pantalon de nos zouaves, et qui répond au joli petit nom harmonieux de Tutu.
Le héros de l’aventure était un jeune journaliste parisien et boulevardier, du nom de Pierre Mortier. […] et je ne sais pas les noms des personnes qui m’ont… confié ces bijoux.
On est indigne du nom de père et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des filles pour le siècle présent, on les laisse, par une molle et excessive indulgence, périr pour le siècle futur. […] Le nom d’évêque que nous portons, vient de l’inspection et de l’intendance que nous avons sur le peuple dont nous sommes évêques, et du soin que nous devons prendre de son salut en veillant sur lui.