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64. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15

Histoire de continuer leurs malicieuses plaisanteries, ils sont capables de m’aider à y entrer, à cette fameuse Académie, qui est tout proche des bains Ouarnier, a ce qu’on m’a dit.

65. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Le pourtour de la barrière de l’Hôtel-de-ville était fermé de cloisons de planches peintes en pierres, pour empêcher le peuple d’entrer dans l’intérieur du perron. […] Le compliment fini, le carrosse de Madame la Dauphine passa lentement sous l’arc de triomphe, et entra dans la rue Bouhaut. […] Madame la Dauphine entra enfin dans la cour de l’Hôtel-de-ville destiné pour son palais, pendant le séjour qu’elle ferait à Bordeaux. […] Elle entra dans cette église par la porte royale, dont le parvis était jonché de fleurs naturelles. […] Elle entra ainsi suivie de toute sa cour dans la maison navale, dans laquelle étaient l’intendant de la province et sa suite, le corps de ville, l’ordonnateur de la marine, etc.

66. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »

Il y a le pas de courante qu’on fait entrer dans la composition de plusieurs danses. […] Le moment viendra peut-être où l’esprit de réflexion entrera en quelque société avec la facture mécanique des sauts et des pas.

67. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -

Les Egyptiens sont les premiers parmi les Payens, dont les Prêtres ayent exprimé par des danses caractérisées les Mysteres de leur Religion : les Grecs ont encheri sur eux en ce point, comme on le voit dans l’histoire de leurs Corybantes ; & les Romains les ont imitez, en faisant entrer les danses dans la célébration de leurs Fêtes & dans leurs Sacrifices.

68. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »

Tout ce qu’on raconte de Minerve, de Vulcain, d’Érichthon, le procès de Neptune sur la possession de l’Attique et le premier jugement de l’Aréopage, l’hospitalité de Céléus, les heureuses inventions de Triptolème, l’enlèvement de Proserpine, sont autant de Sujets qu’il peut exposer sur le théâtre, et qui doivent entrer d’une manière éloignée ou prochaine dans ses compositions.

69. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo — Avvertimento »

Comunque non però siffatte correzioni s’imprendano, il mio cortese leggitore farà nella prevenzione che l’idee del ballo siccome son rinserrate nell’umano intendimento, così, ancorché bene si concepiscano, possono esser male rappresentate o male intese da chi entra a leggere commosso ed agitato dalla tirannica passion del partito.

70. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

Avisant une honnête figure de gandin provincial qui les regarde entrer en ouvrant des yeux hébétés, elles le prient de se charger du dépôt du châle au vestiaire.

71. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75

Cela est tellement vrai, que j’ai des émotions avant d’entrer en scène ou dans un bal.

72. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

. — J’étais choriste aux Délassements-Comiques, et j’avais des émotions au moment d’entrer en scène.

73. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194

Mais sans entrer dans la discution de ces sentimens, je me contenterai de dire que si on s’en rapporte à l’Ecriture-Sainte, on y trouvera quantité d’éxemples qui peuvent persuader que les Anges sont les Ambassadeurs de Dieu, desquels il se sert quelquefois pour nous annoncer ses volontez sur la terre, par l’usage de la voix ordinaire, ou mélodieuse, comme celle que l’on entendit dans les airs, lors de la naissance de Jésus-Christ, & tant d’autres éxemples dont l’Ecriture est remplie.

74. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-

Je n’entrai pas moins dans le théâtre.

75. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133

Groult ouvrit une porte et nous fit entrer dans une grande galerie, où nous attendaient soixante-douze Turner.

76. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-

Lors de la seconde soirée, au moment où l’on allait éteindre les lumières, un homme vint me dire, tandis que j’entrais en scène : — Regardez avant qu’on éteigne, le flot humain qui déferle à vos pieds.

77. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

Proclamée la rédemptrice du corps qu’elle affranchissait de toute entrave conventionnelle, elle entra dans la gloire.

78. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214

Les prêtres entrent dans le temple pour y consulter l’oracle.

79. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

À peine est-il entré depuis un quart d’heure, et déjà le voici en intrigue réglée avec un domino blanc le plus coquet du monde. […] En effet, Cléofas est méconnaissable sous son nouveau costume ; il le porte même avec tant de grâce et de naturel qu’à sa rentrée dans le bal, don Gil et Bellaspada, le prenant réellement pour une femme, s’acharnent tous deux à sa poursuite et lui proposent de concert un souper fin que le jeune étourdi trouve piquant d’accepter. — Au dessert, les deux amphitryons, curieux de connaître la beauté qu’ils ont fêtée, imitent Cléofas à lever son masque… Jugez de leur stupéfaction et de la rage où ils entrent lorsqu’apparaît la maligne figure de leur rival ! […] Cependant, au moment d’entrer chez la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son bras, et entend une voix qui lui crie dans la langue du ballet : « Halte-là, beau cavalier !

80. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256

Arbas se charge de la lettre d’Iphigénie adressée à Electre sa sœur ; il ne doit la remettre à Pylade, que lorsqu il entrera dans son vaisseau : cette précaution en jettant un voile sur le secret de la naissance d’Iphigénie, éloigne toutes les questions, ménage le moment de la reconnoissance, et la rend d’autant plus frappante et d’autant plus intéressante, qu’elle est inattendue. […] Après être entré dans le détail des moyens que j’ai employés, et que le désir de plaire m’a suggérés, il me reste à réclamer cette indulgence que le public a daigné avoir pour Agamemnon ; je désire ardemment que sa fille Iphigénie soit vue avec la même bonté, et reçoive le même acceuil que le père.

81. (1936) Philosophie de la danse

Commencer de dire des vers, c’est entrer dans une danse verbale. […] Je ne veux pas entrer dans ces questions, qui, très connues et sans difficulté, dans la pratique, me paraissent manquer jusqu’ici d’une théorie satisfaisante ; comme il arrive d’ailleurs, en toute matière où le temps est directement en cause.

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