Mais des essors soudains, changeants, puissants de ta blanche personne sortaient des paroles pleines de lumière, d’harmonie, d’enchantement. […] s’écrie-t-il en finissant, ange merveilleux de la danse, tu m’apparais dans cette vision muette comme la blanche et très belle déesse de l’Espérance qui s’incline sur les ondes et qui pour nous consoler nous berce et nous endort. » Rome en 1846 était dans la lune de miel du pontificat de Pie IX. […] Son visage, d’un ovale régulier, n’avait pas de rides, ses épaules et ses bras, fermes et blancs, étaient admirés partout où elle apparaissait en décolleté.
On met sur la partie horizontale des espèces de lampions de fer blanc faits en forme de biscuits, et auxquels on donne ce nom ; l’autre partie couvre ces lumières, et on l’oppose au public ; en sorte que toute la lumière frappe la partie de la décoration où l’on veut porter un plus grand jour.
Salomé dansait, mais une Salomé en jupe courte, une Salomé ayant sur les épaules sa jaquette, une Salomé en costume tailleur, et dont les mains, les mains mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les mains toutes blanches, les mains pareilles à des bouts d’ailes, sortaient des vêtements, donnaient à elles seules toute la poésie de la danse, danse de séduction ou danse de terreur, danse infernale ou délicieuse.
De par sa magie, une grande bouche devient de l’expression et un grand nez du caractère… Mais à Circé, Circé et demie : La danseuse s’attable devant sa glace… D’abord, elle se passe sur la figure, les bras, le cou, les épaules, et la poitrine, jusqu’au-dessous des seins une couche épaisse de blanc liquide qui forme vernis en séchant.
) ancienne espèce de danse dont l’air est lent, et se note ordinairement en triple de blanches avec deux reprises.
Il contenait une jupe de soie blanche très légère, d’une forme particulière, et quelques pièces de soie arachnéennes.
Le garçon, un nègre herculéen, contempla, impassible, ce petit homme agité, blanc et blond, puis, tranquillement, sans demander son reste, prit la porte et sortit.
Un jour, mes yeux tombèrent sur une lettre qu’elle écrivait à une de ses cousines et qu’elle laissa en brouillon sur sa table, peut-être avec l’intention de me la faire lire. « Ma chère Calixte, lui disait-elle, je m’ennuie de plus en plus dans cet horrible donjon noir, en face de ces neiges éternellement blanches et solennellement bêtes.
En me réchauffant dans un vaste lit moelleux, garni de tentures et de pasquilles, j’ai songé à mon premier réveil dans un petit lit tout blanc auprès du tien ; j’avais sept ans, je sortais d’un taudis, quand tu me pris au fond de la misère sordide pour faire de moi ton fils, pour me laver, me purifier et abriter mon sommeil sous ton rideau.
PHÈDRE Elle semble d’abord, de ses pas pleins d’esprit, effacer de la terre toute fatigue, et toute sottise… Et voici qu’elle se fait une demeure un peu au-dessus des choses, et l’on dirait qu’elle s’arrange un nid dans ses bras blancs… Mais, à présent, ne croirait-on pas qu’elle se tisse de ses pieds un tapis indéfinissable de sensations ? […] PHÈDRE Comme elle est blanche !
« Il en est de la danse comme de la musique, et des danseurs comme des musiciens ; notre art n’est pas plus riche en pas fondamentaux que la musique l’est en notes ; mais nous avons des octaves, des rondes, des blanches, des noires, des croches, des temps à compter, et une mesure à suivre ; ce mélange d’un petit nombre de pas et d’une petite quantité de notes, offre une multitude d’enchaînements et de traits variés ; le goût et le génie trouvent toujours une source de nouveautés en arrangeant et en retournant cette petite portion de notes et de pas de mille sens et de mille manières différentes ; ce sont donc ces pas lents et soutenus, ces pas vifs, précipités, et ces temps plus ou moins ouverts, qui forment cette diversité continuelle (c). » [NdE J.
La danse Sacrée étoit encore admise dans les funérailles des Payens, comme on le voit dans Platon, Livre 12 de ses Loix, en parlant de la pompe funébre des Gouverneurs d’Athenes : il dit que ceux qui formoient le convoi étoient vétus de blanc ; il y avoit autour du cerceuil deux rangs de quinze filles qui dansoient, & une autre troupe de jeunes garçons qui précedoient le corps, en dansant au son des flutes & d’autres instrumens à l’usage des pompes funébres ; les Prêtres chantoient alternativement des Hymnes & des Cantiques en l’honneur du défunt : il y avoit dans ces convois des femmes d’une extrême vieillesse & vétues lugubrement, qui faisoient les pleureuses ; elles étoient payées à proportion des larmes qu’elles répandoient.
*** Rita Sangalli habite, — au bout du Trocadéro, en face la villa Lamartine, où l’auteur de Jocelyn avait enfoui sous les feuilles une sorte de chalet suisse plus original qu’élégant, — Rita Sangalli habite, dis-je, un petit hôtel tout flambant neuf, daté de 1881, qui détache sa façade blanche sur les verdures du bois de Boulogne.
Un char qui portait la Liberté et l’Égalité s’arrêta devant la montagne ; les deux divinités la gravirent ; les portes du temple s’ouvrirent pour les recevoir ; en même temps, l’orchestre fit entendre la marche des prêtresses de l’opéra d’Alceste ; on vit alors sortir du temple des jeunes filles vêtues de tuniques blanches, couronnées de fleurs, ceintes de rubans tricolores, et portant des guirlandes, des palmes, des urnes, des vases et des cassolettes de parfums. […] Il est vrai que l’Opéra marchait à la tête de ceux qui exaltaient la personne et la gloire de Napoléon : le Triomphe de Trajan, dans lequel on vit le char du triomphateur, traîné par quatre chevaux blancs, fut une véritable apothéose que toute la population de Paris voulut saluer de ses acclamations. […] J’ai vu Taglioni , la Sylphide, essayer un pas en robe blanche du matin.
O Lorettes, Alphonse Karr vous prendra sur ses nerveuses épaules, il vous plongera dans les belles eaux des fleuves où il vous fera courir comme de sveltes couleuvres ; puis il dira : Ce sont des sirènes que j’ai rencontrées et qui jouaient dans les roseaux avec les blanches mauves du rivage et les martins-pêcheurs aux ailes bleues. […] Th. de Rolleau, Curé de Notre-Dame-de-Lorette. » Vous le voyez, Lorettes, vous êtes les protectrices du temple, vous en êtes les blanches et sveltes colonnes ; sans vous, il serait peut-être tombé et avec lui serait tombé le joli nom que vous portez. […] La langue française, pas plus que la langue chinoise, n’a de mots pour exprimer ce mouvement incessant, cette action galvanique, ce tournoiement continu, ce bourdonnement aigu, cette convulsion constante qui constituent la vie de ces myriades de lutins blancs, bleus, tricolores, qui se choquent, se heurtent, et sortent de la ruche du domicile pour n’y rentrer qu’au milieu du carême.
scene i Les Prêtres et les Prétresses de Diane sont rangés dans le sanctuaire, et tous les instrumens employés dans les sacrifices sont placés autour de l’autel ; pendant un hymne executé par le chœur des Prêtresses, de jeunes enfans vêtus de lin et le front ceint d’une couronne de fleurs, conduisent la victime à l’autel ; c’est Oreste ; il est vêtu d’une robe blanche, couronné comme ses conducteurs et enchainé avec des guirlandes.
En leur qualité d’invités ils avaient tous été placés à l’orchestre ; avec leurs pantalons et leurs vestes bleus, leurs chemises blanches, leurs cols bleu clair et leurs chapeaux noirs, ils offraient un coup d’œil pittoresque. […] En décembre 1840 elle usa dans la même ville d’un traîneau superbe attelé de quatre chevaux blancs ; un jour cinquante traîneaux s’élancèrent à sa suite et lui firent, sur les longues avenues, une escorte triomphale.
…3 » (« Ses pieds sont comme deux blanches colombes », râlait dans la Salomé d’Oscar Wilde Narraboth, le ver de terre amoureux d’une étoile h.)