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100. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »

Elle se présenta naturellement à l’esprit des premiers Chrétiens, comme un moyen d’animer leurs Fêtes, d’embellir leurs cérémonies, de rendre leur Culte plus imposant.

101. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »

Picabia, c’est là ce qui caractérise et différencie l’œuvre personnelle de chacun de ces peintres, leurs conceptions picturales, leurs styles respectifs et leurs moyens d’exécution.

102. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »

Un an plus tard, il est une moyenne.

103. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »

J’ai spécifié le caractère désintéressé de cet art qui n’est plus ni un mode de figuration ni un moyen d’expression psychologique et directe ; car toute velléité sentimentale et toute bouffée sensuelle sont métamorphosées par la danse en symbole plastique, en formule dynamique, en geste rythmique.

104. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82

Camargo, quitteroient le genre qui ne leur convient pas. pour prendre celui qui s’ajusteroit le mieux à leur taille et à leurs moyens physiques1.

105. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Les traitements des étoiles n’ont pas augmenté, ils ont même plutôt diminué ; ceux des autres membres du corps de ballet et des employés de l’Opéra ont sensiblement progressé, si bien qu’aujourd’hui chaque représentation coûte 40 580 francs, tandis que la recette moyenne de 1920 ne dépasse pas 25 000 francs. […] Une danseuse moyenne est aux étoiles véritables ce qu’est un diplomate sorti de l’École des Sciences politiques à un Talleyrand, un Cavour. […] Mais je n’en avais pas le moyen. » Ainsi les choses ont leurs larmes et leurs sourires, la comédie côtoie le drame, et la grande loi d’ironie, tantôt amère et tantôt consolatrice, domine l’humanité.

106. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43

.° 2.) il observe que le démon, selon la différence des temps, prend aussi différentes formes pour attaquer les chrétiens ; que dans le temps que les princes infidèles persécutoient les adorateurs du vrai Dieu, le démon avoit la forme de lion, la fureur des persécuteurs étant figurée par celle d’un lion rugissant ; qu’ensuite les persécutions ayant cessé, le démon avoit pris la forme d’un serpent, s’appliquant d’autant plus à séduire et à tromper les Fidèles, qu’il ne pouvoit plus les persécuter autrement ; que les danses sont un des moyens qu’il emploie pour les perdre. […]  » Si les danses étoient un divertissement indifférent et permis, saint Augustin les joindroit-il aux blasphèmes et aux impudicités, en parlant des moyens que le diable, sous la forme du serpent, prend pour séduire les chrétiens ; et diroit-il qu’elles mettent les ames en pièces, comme ces deux autres espèces de crimes, contre lesquels tout le monde prononce condamnation ? […] Il nous apprend dans une de ses lettres adressées à Alippe son ami et évêque de Tagaste, ce qu’il avoit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire lire au peuple l’histoire de l’adoration du veau d’or par les Juifs, rapportée au chapitre 32 de l’Exode : il y est dit que le peuple se leva dès le matin, pour offrir à ce veau des holocaustes et des victimes pacifiques ; qu’ensuite il s’assit pour boire et pour manger, et qu’ils se levèrent pour danser : sur quoi saint Augustin, qui n’étoit alors que simple prêtre, fit observer au peuple que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que la circonstance de la consécration et de l’adoration du veau d’or, où les excès de bouche et de danses aient eu lieu pour la célébration d’une fête : « et il en conclut que cette manière de célébrer les fêtes, n’est digne que des fêtes des idolâtres », et est par conséquent indigne des véritables chrétiens.

107. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26

Nous ne sommes plus à Athènes, Monsieur, tout est bien changé ; ce n’est pas en calculant tristement dans son attelier, ou dans son grenier sur les moyens de se procurer un habit, et du pain, que le génie peut s’élever ; et c’est à la gêne, et à l’infortune des artistes que l’on doit souvent le maigre, le décousû, et la négligence qui régnent dans leurs ouvrages.

108. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Cette idée générale l’oblige ensuite à nous donner des moyens communs qui puissent conduire les Peintres & les Poëtes par les voies du bon sens & de la raison ; car l’on voit dans l’une de ses Satyres, qu’il aimoit extrémement la Peinture, & qu’il passoit pour un fin connoisseur. […] Je n’aurois jamais fini, si je voulois parcourir tous les moyens qu’a la Peinture d’exprimer tout ce qu’elle médite : l’on voit assez par tout ce que je viens de dire, qu’elle ne manque pas de ressorts non plus que la Poésie, pour plaire aux hommes, pour leur imposer, & pour ébranler leurs esprits. […] Si par le mot de raisonnement on entend l’action de l’entendement qui infere une chose par la connoissance d’une autre, il se trouve également dans la Poésie & dans la Peinture, quand l’occasion s’en présente ; le plus sûr moyen de rendre cette vérité sensible, est de la démontrer dans des ouvrages qui soient sous nos yeux, & ausquels il soit aisé d’avoir recours : les tableaux de la Gallerie du Luxembourg, qui représentent la vie de Marie de Médicis, en seront autant de preuves ; je me servirai de celui où est peinte la naissance de Louis XIII. parce qu’il est le plus connu. […] L’on a vu plusieurs Peintres qui ne pouvant donner par le moyen de la parole l’idée de certaines choses qu’il importoit de connoître, se sont servis de simples traits pour les dessiner, sans qu’on pût s’y méprendre. […] Les pauvres se servoient anciennement du même moyen pour se défendre contre l’oppression des riches, selon le témoignage du même Quintilien, parce que l’argent des riches pouvoit bien gagner les suffrages en particulier ; mais sitôt que la peinture du tort qui avoit été fait paroissoit devant toute l’assemblée, elle arrachoit la vérité du cœur des Juges en faveur des pauvres : la raison en est que la parole n’est que le signe de la chose, & que la Peinture qui représente plus vivement la réalité, ébranle & pénétre le cœur beaucoup plus fortement que le discours.

109. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Troupeau. » La réclame de Véron ne reculait pas devant un des moyens qu’emploient les plus obscurs tréteaux de province, celui qui consiste à faire croire à une location extraordinaire et à presser les amateurs de retenir le petit nombre de places encore disponibles. […] Elle quitte sa couche pour aller concerter avec Obéron les moyens de protéger don Fernando contre la haine de Caliban et des gnomes. […] La Sylphide, avec Le Comte Ory 6 983 — 12 — La Révolte au Sérail, avec Le Comte Ory 7 614 — La moyenne obtenue par chaque danseuse est sensiblement la même. […] Par ce moyen de locomotion arrivait dans une île d’Islande un garçon apothicaire qui arrachait la belle Léa aux fils difformes de la mère Cagoule, Bag, Beg, Big, Bog, Bug et Caliban.

110. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

Le théâtre n’est, du reste, pour elles qu’un moyen de parvenir non indiqué par Béroalde de Verville. […] … Comme il cherchait un moyen et une formule, la mère se pencha tendrement à son oreille : — A présent, proposa-t-elle, si nous renvoyions la petite ?

111. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »

Du flegme, une étude profonde, beaucoup de patience, un grand fond de fermeté, la certitude que les hommes ne sont pas toujours injustes, le secours du temps, et surtout des efforts redoublés pour mieux faire ; voilà les moyens légitimes qu’on doit se ménager pour les circonstances malheureuses, les seules armes avec lesquelles il faut combattre ses ennemis, les grandes ressources qu’il est glorieux d’employer en faveur de la bonne cause.

112. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »

Ayant épuisé ces moyens, elle esquisse un pas « à quatre pattes » ; et même dans ce réjouissant galop de singe, la femme reste belle.

113. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »

Trop rapides, sans doute, les deux épisodes qui se précipitent sur ce plateau garni de linoléum sous la lumière brutale et errante des projecteurs, pour étudier à fond l’inspiration et les moyens du maître français.

114. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

comment fera-t-il passer dans l’ame du spectateur les mouvemens qui agitent la sienne, s’il s’en ôte lui-même les moyens, et s’il se couvre d’un morceau de carton et d’un visage postiche, triste et uniforme, froid et immobile. […] Je trouve, Monsieur, ce genre si froid et si ennuyeux, que je consentirai même que le danseur en mette plusieurs, s’il imagine pouvoir amuser par ce moyen ceux qui les aiment. […] La taille qui est propre au demi-caractère et à la danse voluptueuse, est sans contredit la moyenne ; elle peut réunir toutes les beautés de la taille élégante. […] Consultons souvent notre miroir ; c’est un grand maître qui nous dévoilera toujours nos défauts et qui nous indiquera les moyens de les pallier ou de les détruire, lorsque nous nous présenterons à lui dégagés d’amour-propre et de toutes les préventions ridicules.

115. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Comment fera-t-il passer dans l’ame du Spectateur les mouvements qui agitent la sienne, s’il s’en ôte lui-même le moyen, & s’il se couvre d’un morceau de carton & d’un visage postiche, triste & uniforme, froid & immobile. […] Je trouve, Monsieur, ce genre si froid & si ennuyeux, que je consentirai même que le Danseur en mette plusieurs, s’il imagine pouvoir amuser par ce moyen ceux qui les aiment. […] La taille qui est propre au demi-caractere & à la Danse voluptueuse est sans contredit la moyenne ; elle peut réunir toutes les beautés de la taille élégante. […] Consultons souvent notre miroir ; c’est un grand Maître qui nous dévoilera toujours nos défauts & qui nous indiquera les moyens de les pallier ou de les détruire, lorsque nous nous présenterons à lui, dégagés d’amour propre & de toutes préventions ridicules.

116. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78

Léonard définit parfaitement l’action de l’homme qui saute et les moyens qu’il emploie pour s’élever de terre.

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