Robinet, lettre du 8 septembre 1668 Nos COMIQUES ITALIENS, Toujours de risibles Chrétiens, Et féconds en Pièces nouvelles, Qui sont magnifiques et belles, En ont une sur le Tapis (C’est sur la Scène que je dis), Qui ne doit rien à ses Aînées, Qu’en leur temps j’ai si bien prônées, Soit pour les changements divers, Pour les Ballets, pour les Concerts, Les Jardins les Architectures, Les Perspectives, les Peintures Et les risibles Incidents, Qui, sans fin, font montrer les Dents Et rire à gorge déployée ; Car toute la Troupe enjouée Y fait des MIRABILIA, Hors la charmante OLARIA, Qui n’a nul rôle en cette Pièce, Féconde Source de Liesse, Et dont le Titre, en quatre mots, Est : LES REMÈDES À TOUS MAUX, Dont j’espère, en quelque autre Épître, Faire un plus digne et grand Chapitre.
Des Ballets, d’Entre-actes, servirent, Qui plurent et qui réjouirent, Ayants pour visée et pour fin Le sort de Monsieur le Dauphin.
Mais ce qui ravit plus le coeur, C’est certain Angélique Choeur Formé des voix justes et belles, De trois illustres Demoiselles,45 Dont, selon mon opinion,46 La douce et charmante union47 Fait goûter aux oreilles fines Des voluptés presque divines. […] Jeudi, bien des Gens y coururent, Nos deux sages Reines y furent Environ vers la fin du jour, Avec une assez noble Cour, C’est-à-dire Mademoiselle, Sa Soeur d’Alençon avec elle, Et plusieurs Princes, mêmement, Tant Princes du Sang, qu’autrement.
Notre MONARQUE et notre REINE, Dont la Puissance Souveraine Fait notre bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN Vinrent à cette belle Fête, Étant, des pieds jusqu’à la Tête, Vêtus en Perses éclatants, Des fins joyaux tout bluettants121, La REINE, ayant sur sa Personne, Et si divine et si mignonne, Pour dix-sept millions et plus De ces clairs Effets de Phœbus.
[2] Ordinariamente, alla fine di questo passo va congiunto un Passo Staccato, per poter prendere del seguente passo la positura, purché egli da quella, dove l’Unito passo finisce, non debba cominciare, perciocché in tal caso il passo Staccato non servirebbe a nulla.
La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 Le commencement et le cours Et la fin des tendres Amours De Jupiter et de Sémelle Font d’une manière si belle Partout chanter et publier Le savoir de Monsieur BOYER Qu’il est bien juste que je die Que cette Tragicomédie Est pleine d’Actes surprenants, De Vers et de pensers charmants.
Robinet, lettre du 13 août 1667 Achevant de Gazetiser, Car c’est assez nouvelliser, Il faut que pour la fin, je die, Qu’au grand COLLÈGE de CLERMONT, Où, mieux que sur le Double Mont, On trouve l’Encyclopédie, On a distribué, Jeudi dernier, les Prix Dont notre GRAND PORTE-COURONNE, Une fois tous les ans, guerdonne Les jeunes Cicérons, qui sont les mieux appris.
Les trois parties dont on parle, sont, le commencement, le milieu et la fin, qui constituent tout ce qui est action. […] quelle en était la fin ?
Il movimento delle braccia ritonde ha il valore d’un tempo, la cui battuta si trova nella fine d’ogni primo movimento, cioè appunto nell’arrivare delle mani sul mezzo delle tasche: ed il secondo movimento serve di riempimento della detta misura, e di passaggio, o legamento a’ movimenti delle braccia che sieguono appresso. […] Il movimento delle braccia d’opposizione vale eziandio un tempo, la cui battuta si ritrova sulla fine del primo movimento, ed il secondo serve di riempimento dell’intera sua misura, e di legamento ai movimenti di braccia, che sieguono appresso.
Dés que ce Prologue prend fin, Le Théâtre, en un tourne-main, Sans laisser de lui, nulle trace, À de riants Vergers, fait place : Où la Déesse, aussi-tôt, vient, Et, contre l’Amour, s’entretient, Avec les Nymphes, qui comme elle, Ayans, pour lui, le cœur rebelle, Le traitent de Peste, et font vœu, De ne jamais, aimer son Jeu, Quoi que Flore, Sœur de Pomone, Très fortement, les y semone, En leur exprimant les Plaisirs Qu’avec ses Amans, les Zéphires, Elle goûte, chaque journée, Le matin, & l’après dinée. […] Dedans les quatre autres, Vertumne, Busquant, tout de même, Fortune, Proche l’Intendante des Fruits, Dont les Sens sont, aussi, séduits, Sans cesse, exprès, il se transforme, Et passe sous diverse Forme, Espérant, par là, de son cœur, Se rendre, à la fin, le Vainqueur.
D’autre part, un Marquis Français, Qui soupire dessous ses Lois, Se servant de tout stratagème Pour voir ce rare Objet qu’il aime (Car, comme on sait, l’Amour est fin), Fait si bien qu’il l’enlève enfin, Par une Intrigue fort jolie.
Quindi per far l’Assemblé, si pieghino le ginocchia, e rialzandole, sollevasi appena in aria col tempo istesso e si faccia un Assemblé sotto al corpo, con la quale si darà fine al Rigodone.
Ogni positura puol dar principio a questo passo, ed ognuna puol servir di fine.
[2] Per farlo “da lato”, volendosi fare sul fianco sinistro, si metterà il piede manco in avanti, indi piegando il ginocchio del piede dritto si stacca questo in aria con fare un mezzo cerchio e lasciasi cadere sopra il manco, che è movimento di un Jeté; invece di questo Jeté vi si puol legare alcune fiate una quinta intrecciata, cambiando piede; dopo il movimento gittato si leva immediatamente il sinistro, portandosi in seconda positura, e piegando nell’atto istesso si farà un Chassé e poscia un’Assemblé “fiancheggiata”, con la quale avrà la sua fine questo passo da lato.
Où la logique prend fin, que le rêve de la poésie commence.
J’en puis rendre ce témoignage, Grâce aux Dieux, je vis cet Ouvrage, Ouvrage fin et délicat, Dont Monsieur l’Éminent Légat, Eut dans une superbe Salle À Fontainebleau le Régale ; Il la vit attentivement, Il y prit grand contentement ; Et malgré son humeur hautaine, Quittant la gravité Romaine, Il rit fort aux endroits plaisants, Aussi bien que nos Courtisans.
Robinet, lettre du 21 janvier 1668 Dans le PALAIS des TUILERIES, Lieu des fines Galanteries, Le lendemain, le CARNAVAL, Représenté par d’ESTIVAL Avec une nombreuse Suite De Musiciens, tous d’Elite, À ravir, divertit la Cour, Par un gai Ballet, à son tour.