Mais comme il se fait des reverences de plusieurs manieres suivant les differentes occasions qui les demande, je les expliquerai chacune en particulier, conformément aux Figures qui representent l’action principale que le corps doit faire, après que j’aurai démontré dans le Chapitre suivant la maniere d’ôter & de remettre le chapeau, instruction très-utile, sur tout à la Jeunesse à laquelle on a de la peine à en faire bien comprendre la consequence.
Lorsque je la considère, je pense comme elle, et je me demande s’il existe une façon de comprendre que nous ne possédons pas nous, saxons. […] demanda la mère de Gab. […] Entre autres choses elle a dit, en parlant des effets qu’elle obtenait : « Tout le monde sait quand c’est réussi, mais personne ne sait comment il faut s’y prendre pour y arriver et c’est cela que je cherche sans cesse. » Son interlocuteur lui demanda encore s’il n’y avait pas un système établi ou des livres qui pussent le mettre sur la voie. […] La mère de Gab après avoir répondu au salut du directeur, qui prenait congé, demanda encore à la buraliste : — Est-elle comme il faut ? […] Et je me demande si son amitié, si solide et si sûre, n’est pas intimement confondue avec l’amour de la forme, de la couleur et de la lumière que j’ai synthétisé, à ses yeux, lorsque je lui apparus pour la première fois ?
Les arts sont frères ; ils s’entraident réciproquement et se prêtent de mutuels secours ; le chant, dans plusieurs circonstances, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en demander au chant ; j’usai de celte complaisance réciproque ; elle assura mon succès, je dois cette nouveauté à une circonstance imprévue. […] C’étoit demander l’impossible ; comment faire mouvoir des statues ? […] Je ne demande point de vers ; je ne veux que des mots entrecoupés, des cris de désespoir et de douleur, et des exclamations propres à rendre plus effrayans les tableaux déchirans de la scène. […] Je leur demanderai si le sujet de Médée est bien joyeux, si une femme jalouse et barbare qui empoisonne sa rivale, brûle son père, poignarde ses propres enfans, et embrâse le palais de Créon, offre des peintures riantes et agréables ? […] Le Picq profita de la circonstance et fit demander à l’Empereur qu’il me permit de lui dédier mon ouvrage, non seulement sa Majesté Impériale consentit a recevoir cet hommage, mais par une suite de sa munificence et de sa générosité elle ordonna que les frais de l’impréssion seraient acquittés par son trésor.
On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de Dieu, de qui vient la chasteté comme toutes les autres vertus ; et le grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la demander instamment à Dieu. […] Ce principe posé, je demande si les personnes qui vont aux danses, croient pouvoir par elles-mêmes et sans le secours de Dieu, conserver la chasteté, ou si, étant persuadées qu’elle est un don de sa miséricorde, elles se préparent aux danses par des prières qu’elles font à Dieu d’échapper aux piéges qui sont tendus de toutes parts à cette vertu ? […] Elles ne voient pas ces pièges, et la plupart ne sentent pas assez le prix de la chasteté, pour craindre d’y tomber ; mais je suppose qu’elles le craignent, et que pour éviter ce malheur il leur vienne à la pensée de se recommander à Dieu pour être en garde contre tout ce qui peut attaquer leur innocence : quelles prières seroient celles qu’elles feroient alors pour en demander la conservation, et quel effet auroient-elles devant Dieu ? Ne seroit-ce pas plutôt l’insulter que le prier, de lui demander de ne pas périr dans des dangers auxquels on s’exposeroit par sa propre faute après ce qu’il a si expressément dit : Celui qui aime le péril, y périra ?
Je demande si l’autorité de ces confesseurs si indulgens, est préférable à celle des docteurs dont j’ai rapporté les décisions contre les danses. […] En effet, quand le roi Josaphat lui demanda s’il n’y avoit pas quelque prophète du Seigneur par lequel ils pussent consulter le Seigneur, Achab lui répondit qu’il y en avoit un, par qui ils pouvoient consulter le Seigneur ; mais qu’il haïssoit cet homme-là, parce qu’il ne lui prophétisoit jamais rien de bon, et qu’il ne lui annonçoit que du mal
Je demande qui l’on doit considérer le plus, ou de celui qui compose une Pièce de théâtre, ou de ceux qui l’apprenent par cœur ? […] C’est à-peu-près comme si le compère de Polichinel était obligé de demander la permission de ses marionnettes, lorsqu’il veut les faire mouvoir ......
Elle lui demande ce grand cœur, passionné et tendre, dont elle ne fait rien : elle ne lui donne pas le sien, car elle n’en a pas.
Mes camarades à qui je te prie de faire mes compliments ont dû voir que je ne demandais pas mieux que de revenir à Paris sous deux mois au plus tard pour contribuer avec eux aux amusements de cette capitale. […] Je demande à vous, Citoyen Conseiller d’État, je demande au Gouvernement, ce que tous mes confrères ont dans tous les pays étrangers, c’est-à-dire à être nommé Maître des Ballets en chef et sans partage des Théâtres du Gouvernement français, ou si je n’en suis pas jugé digne, je demande une retraite honorable, et telle que peut la mériter un homme qui a servi trente ans son pays de toutes les manières qui peuvent avoir rapport à l’art qu’il exerce et par tous les sacrifices qui ont été à son pouvoir.
Mais j’ose vous demander quelques jours pour rassembler mes idées vagues et éparses, et pour consulter ma mémoire usée et souvent infidèle.
Il demande du silence. […] Il se découvre, se nomme, et demande pour récompense la jeune Athénienne qu’il aime.
Ce pas est ordinairement prévenu par un coupé, ou autre pas qui vous conduit à la deuxiéme position, en ce que ce pas se prend de cette même position, & se fait en allant de côté, soit à droit, soit à gauche ; mais pour vous l’expliquer plus clairement, je vais fixer le côté : par exemple, si vous allez du côté gauche, il faut plier sur les deux jambes & vous relever en sautant à demi, c’est-à-dire, raze de terre ; & en prenant ce mouvement sur les deux pieds, la jambe droite se raproche de la gauche pour retomber à sa place, par consequent la chasse en l’obligeant de se porter plus loin à la deuxiéme position, ce qui se doit faire très-vîte ; parce que vous retombez sur le droit premier, & la jambe gauche se pose vîte â la deuxiéme position, ce qui fait paroître que l’on retombe sur les deux pieds & comme l’on en fait ordinairement deux de suite ; c’est pourquoi au premier saut vous retombez, pliez & du même temps sautez une seconde fois, en portant le corps sur le droit ou sur le gauche, selon que le pas qui suit le demande. […] Ce pas est coulant, parce qu’en sautant vous gagnez le terrain pour faire la Figure que la danse demande, il est gai c’est lors qu’il y en a plusieurs de suite, il semble que l’on soit toûjours en l’air, néanmoins sans sauter qu’à demi.
Mélingue, si on me le demandait. […] Pourquoi me demandez-vous cela ? […] Ne fais pas la bêtise de me demander des détails sur sa vie privée, je ne dis jamais de mal de mes camarades.
En entrant, un soir, au foyer, mademoiselle Mercédès demande : — Devinez où j’ai passé ma journée ? […] Des yeux qui demandent l’aumône à la porte d’un couvent de Carmes. […] Ne me demandez pas la cause de cette absence. […] Quelqu’un lui demandait : — Lequel préférez-vous, de Delibes, de Métra, de Salvayre ou de Saint-Saëns ? […] Quelqu’un lui demandait : — Vous êtes Allemande, n’est-ce pas ?
Nous nous demandons quel genre de satisfaction peut tirer l’artiste, qui détient ce rôle, de l’interprétation de pas qui, quoique fort simples, outrepassent ses moyens d’une manière trop évidente ?
S… » Le comte, frappé de cette lettre stoïque, offrit le moment de fièvre demandé et une paire de boucles d’oreilles estimées quatre-vingt mille francs. […] demanda mademoiselle Antier, — A moi, mademoiselle. […] « Une jeune personne qui veut monter sur les planches, et se faire voir aux Américains, aux Anglais, aux Hollandais et même aux Allemands, tous gens ruinables, sacrifie quelque chose, et demande de s’essayer gratis. […] … *** Vous me demanderez, peut-être : — Comment vivent ces demoiselles ? […] Mademoiselle Grandpré fut « demandée » en même temps par l’amiral anglais Knowles et par le marquis de Senneville : elle accorda la préférence à ce dernier.
Ma mère demanda des explications. […] Lorsque ma mère vint me rejoindre, longtemps après, elle était encore toute pâle et tremblante, et elle me demanda pourquoi je ne l’avais pas prévenue de ce que j’allais faire.
Le rôle malencontreux de l’Ombre Affligée demande plus que du talent : du dévouement ; Mlle Schwarz a bien voulu se sacrifier ; nous demandons néanmoins que M.