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60. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »

J’ai en vue ici, je l’avoue, ces talents naissants, qui en entrant dans la carrière, donnent déjà des espérances si bien fondées.

61. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »

Ce beau génie qui avait eu des idées si vastes, si nobles, si vraies sur le genre qu’il avait créé, n’eut que des vues fort bornées sur le Ballet qu’il n’avait que défiguré.

62. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »

Tel est toutefois l’attrait de la Danse en action, que nous l’avons vue, il n’y a pas longtemps, charmer la Cour et la Ville, quoiqu’elle fût évidemment déplacée.

63. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140

Mars et Vulcain ne pûrent s’empêcher de rire aux éclats à la vue d’une manœuvre aussi leste et aussi promtement exécutée.

64. (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »

Je réussirai peut-être mieux lorsque j’aurai ajouté l’expérience à l’étude ; et le Public me fera certainement un mérite de l’avoir entrepris dans la vue de lui plaire, et me tiendra compte du défaut des moyens : nous manquons de tout ce qui serait nécessaire pour de tels Spectacles.

65. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »

Dans des coins dérobés à la vue par des toiles peintes en nuages, on avait rangé une foule de Joueurs d’instruments.

66. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-

— La patronne, me dit-il enfin, est sûre que c’est vous, elle vous a vue au théâtre, c’est la même danse, et elle me charge de vous dire à nouveau qu’« elle est très étonnée du procédé de Miss Fuller ».

67. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121

Oui, Monsieur, je l’ai vue cette fête des victoires, qui n’étoit point celle du goût et de l’imagination.

68. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81

Comme, sans être très intimement lié avec lui, je ne l’ai pourtant jamais perdu de vue, je peux vous conseiller d’avoir, quant à la gestion des intérêts que vous lui confierez, une tranquillité absolue.

69. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448

Il s’est informé de moi en descendant de voiture, et tout de suite m’a cherché dans le parc où j’avais été contempler encore l’admirable vue qu’il domine.

70. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43

Les filles ne s’y exposent-elles pas, comme il s’en plaignoit, à la vue des jeunes gens qui s’y assemblent pour danser avec elles, ou du moins pour les voir danser ? […] Enfin, dans les danses d’aujourd’hui, respecte-t-on plus la présence de Dieu et des Anges, qu’on ne faisoit dans celles dont saint Basile se plaint, et n’y perd-on pas également de vue le terrible jour du Jugement ? […] « Les aimer, ajoute ce Saint, c’est abuser des dons du Créateur, et aller contre les vues qu’il s’est proposées en nous donnant des pieds : en effet il ne nous les a pas donnés pour en faire un usage aussi honteux que celui qu’on en fait dans les danses, mais seulement pour marcher modestement.

71. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

On l’entraîne pour lui dérober la vue de ce spectacle déchirant, et il est conduit au capitole où un peuple nombreux l’attend avec impatience. […] Le père d’Horace paroît : il partage la situation de son fils, et s intéresse à celle de Fulvie, qui revoit bientôt la lumière ; ce respectable vieillard fait éclater sa joye à la vue des trophées, qui lui retracent la valeur de son fils ; il l’exhorte à recevoir son arrêt avec le même courage qui l’animoit lorsqu’il combattit les trois Curiaces.

72. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63

Aussi l’avons-nous vue toujours être elle-même un objet de controverse parmi les artistes.

73. (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »

Si j’eusse voulu épuiser mon sujet et en développer les nombreuses ramifications, il m’eut été facile d’entasser volume sur volume ; mais, et je l’ai déjà dit, je me suis attaché surtout à exposer avec clarté les premières notions de la danse ; j’avais en vue les mères de famille, et même les institutrices qui pourront facilement, moyennant une légère application, suppléer à l’absence d’un maître en consultant ce petit traité.

74. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29

Il est des mets succulents que les estomachs débiles et paresseux, ne peuvent digérer, comme il est de trop grandes lumières qui blessent et offensent des vues foibles et délicates.

75. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61

A la vue des chocs perpétuels de l’intrigue, de la jalousie et de la cabale qui règnent, parmi les artistes, ils auroient dit que rien n’y est bien, que rien n’y est bon, et qu’enfin c’est le plus méchant des infinimens petits mondes possibles.

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