Il ne faut pas, aussi, qu’on nie, Qu’un des chers suppôts d’Uranie, Cambert, n’ait une grande part À l’Honneur, par son divin Art : Animant toutes les Parties De ce Corps, très-bien assorties, De si merveilleuse façon, Qu’il ne se peut mieux, tout-de-bon.
Augusta Maywood, fille d’un directeur de cirque américain, rappelait un peu trop ses origines par des façons d’écuyère et des excentricités de clown.
D’une façon toute excellente, Notre Monarque y représente Ce brave et fameux Conquérant Messire Alexandre le Grand : Et Monsieur d’Orléans son Frère, (Altesse qui nous est si chère) Y copie, au gré de la Cour, Le bel Astre du Point du Jour.
Je demandai à la Princesse Marie, si elle s’était jamais intéressée aux danses des Indiens et des Egyptiens, aux danses funéraires, aux danses sacrées, aux danses des morts… Et elle, à son tour, m’interrogea sur la façon dont je croyais qu’il serait possible de reconstituer ces danses. […] Tout le monde, cela va sans dire, me complimenta de la façon la plus charmante, mais la plus aimable fut la Princesse Marie qui m’apporta une grande photographie d’elle sur laquelle elle avait écrit : « Souvenir d’une soirée pendant laquelle vous avez rempli mon âme de joie. » La veille de notre départ de Bucarest, l’argent qu’on devait m’envoyer par dépêche n’était pas arrivé et je me trouvai dans un réel ombarras.
Il représentait en sa danse, En l’une, la Maison de France ; Puis Pluton, Mars et le Soleil, Le dernier dans un appareil Assez conforme à la manière Que l’on peint ce Dieu de lumière : Mais, surtout, furent admirés De son chef les cheveux dorés, Agencés d’une main habile, Et d’une façon si subtile, Que jusqu’à présent nul Mortel N’avait admiré rien de tel ; Notre cher Porte Diadème Le prisa fort, dit-on, lui-même, Et tous les Gens de qualité Etant près de Sa Majesté.
La danse naissait à peine de son temps, et il avait pressenti qu’elle serait un des principaux agréments du genre qu’il avait créé : mais comme elle était encore à son enfance, et que le chant avait fait de plus grands progrès ; que Lully se contentait de former ses divertissements de deux airs de violons, de trois tout au plus, quelquefois même d’un seul ; qu’il fallait cependant remplir le temps ordinaire de la représentation, Quinault coupait ses poèmes de façon que la déclamation suffît presque seule à la durée de son spectacle : trois quarts d’heure à peu près étaient occupés par les divertissements, le reste devait être rempli par la scène. Quinault était donc astreint à couper ses poèmes de façon que le chant de déclamation (alors on n’en connaissait point d’autre, voyez Coupe, Exécution, Déclamation, […] Tout cela est arrivé par degrés, et d’une façon presqu’insensible, parce que la danse et l’exécution ont fait leurs progrès de cette manière.
Je fermai les yeux et j’effeuillai une marguerite de cette façon : Un coup sonna. — Je l’aime, fis-je.
Ce poème chorégraphique d’une très vaste envergure comporte une « variation pour quatre cavaliers », unique en son genre, variation dont le dénouement est disposé de la façon la plus frappante.
Mais au fait, librement n’est qu’une façon de parler.
« Les danses, disent-ils, sont des sauts et des mouvemens, mesurés de façons diverses, en assemblées d’hommes et de femmes, au son de choses vaines et profanes, et non à autre fin que de prendre et donner du plaisir. […] S’il faut apprendre à mesurer ses pas, ce doit être de la façon que le sage nous enseigne en ces paroles : (Prov. c. 4, vv. 26 et 27.) […] Il n’y a rien de la volonté de Dieu en de telles insolences, qui sont autant de façons profanes du monde ; et Dieu ne sauroit avoir en aucune action, le cœur plongé plus avant dans les folles délices et les plaisirs de la terre, que là.
« Les bras qui accompagnent bien le corps en dansant, font comme la bordure fait à un tableau ; car si elle n’est faite de façon qu’elle puisse convenir au tableau, quelque beau qu’il soit, il n’est pas si apparent : ainsi, quelque bien qu’un danseur fasse les pas, s’il n’a pas les bras doux et gracieux, sa danse ne paraîtra pas animée, et par conséquent fera le même effet que le tableau hors de sa bordure. » [NdE J.
Le panorama apparaît de façon tellement inattendue que l’on s’arrête pour mieux admirer.
De leurs Noms voici, donc, la liste, Comme ils viendront à l’improviste, Sans y chercher d’autre façon ; On m’a donné cette leçon.
Cette façon de comprendre la danse eut pour corollaire une réforme radicale du costume. […] Un admirateur anonyme analyse de la façon suivante le style que Mlle Taglioni porta, dans la Sylphide, à son point culminant : « …Les lignes télégraphiques, les figures géométriques disparaissent ; plus de ces poses laborieusement voluptueuses, plus de ces scènes soi-disant lascives, qui se jouent avec le sourire et les yeux ; plus de coudes pointus, de poignets cassés, de petits doigts détachés ; en un mot, rien qui sente le travail d’une profession, les artifices d’un métier, les caractères d’une école. […] Le caractère de chaque nation se reflétait dans sa façon d’honorer l’héroïne. […] La Russie fut également démonstrative à sa façon ; en l’honneur de l’illustre hôtesse, elle se grisait de champagne.
Mme Claretie nous reçut de façon si cordiale que nous fûmes tout de suite plus que contentes d’être venues. […] Elle se mit à rire, de cette bonne et rassurante façon qui lui est particulière, et répondit : — Oh non !
Mortier descendit à Holland-House, maison où l’on parlait français et où les choses se passaient d’une façon qui lui était plus familière. […] Mais, pour peu qu’il soit philosophe, rien n’est plus renseignant pour un rigoriste anglais que de se rendre compte de la façon dont un Yankee considère généralement les conventions mondaines et aussi comment il regarde de haut quiconque n’est pas Américain.