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104. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

— Bien qu’elle soit partie, hélas ! […] La plainte semble partir d’un énorme bocal posé sur une estrade au fond du laboratoire. […] Pour le bouquet de la fête, on prie Florinde de danser. — Elle s’avance en basquine de satin rose garnie de larges volants de dentelle noire ; sa jupe, plombée par le bord, colle exactement sur ses hanches ; sa taille de guêpe se cambre audacieusement et fait scintiller la baguette de diamants qui orne son corsage ; sa jambe, polie comme le marbre, luit à travers le frêle réseau de son bas de soie ; et son petit pied, en arrêt, n’attend pour partir que le signal de la musique.

105. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

Elle est la première qui ait dit à la pauvre Effie : « James, ton jeune fiancé, ne t’aime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cruel dans ce jeune cœur. […] le démon est parti.

106. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

A partir de cette publication je souhaite que les hommes soient moins maladroits dans leurs façons d’assiéger les femmes.

107. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

La veuve partit pour l’Angleterre avec son fils.

108. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39

Je pars de ce principe, pour oser croire que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté dans les préceptes qu’il donnera aux sujets qu’il voudra former : il demêlera dès-lors aisément les vices de conformation, et les défauts d’habitude qui s’opposent si souvent aux progrès des éléves.

109. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77

Je pars de ce principe, pour oser croire que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté dans les préceptes qu’il donnera aux sujets qu’il voudra former : il démêlera dès-lors aisément les vices de conformation, & les défauts d’habitude qui s’opposent si souvent aux progrès des éleves.

110. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »

Dom Juan d’Autriche Vice-Roi des Pays-Bas, partit exprès en poste de Bruxelles et vint à Paris incognito, pour voir danser à un Bal de cérémonie Marguerite de Valois, qui passait pour la meilleure danseuse de l’Europe.

111. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »

Le Public n’est parti que d’après son impression, qui, avec raison, est toujours sa règle ; mais l’effet tel qu’il est produit sur le Spectateur, peut avoir deux causes, le dessein et l’exécution.

112. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

Elle n’en dansa pas moins, le soir de la première ; mais, en retirant son maillot, la peau partit avec le tricot.

113. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo LX. Delle Capriole » p. 31

Battute [12] Le capriole “battute” sono quelle le quali, senza intrecciare i piedi, battono sempre all’istessa parte. […] [40] Quello “sotto al corpo” va preso dalla seconda posizione, il corpo si tiene perfettamente equilibrato nel primo modo, le braccia a mezz’aria che danno l’equal pondo al corpo, si piegano le ginocchia e si gira il corpo dalla sola cinta all’insù per un quarto dalla parte opposta, per dove si deve saltar girando, e nel distendere si dà la spinta al corpo per il salto ed il moto per il giro, con l’accompagnamento delle braccia.

114. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-

A Nice, une fois, j’allais avoir l’honneur de paraître devant Sa Majesté la Reine Victoria, lorsque mon imprésario me força à partir sur-le-champ, pour l’Amérique.

115. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-

C’est très fatigant pour elle, elle en fait trop, mais le public ne veut pas la laisser partir.

116. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

Les Horaces partent ; leur père et Procule les suivent, Fulvie fait mille tendres vœux pour leur victoire ; mais s’appercevant que Camille change de visage, et que les signes de la mort s’impriment sur ses traits, elle vole à elle.

117. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

A ceux qui s’étonnèrent d’une telle froideur envers un monsieur qui avait eu les honneurs de nombreux à parte, elle répondit : — C’est un malotru, avec lequel ne peut se commettre une femme qui a souci de sa dignité et de l’opinion.

118. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100

J’ai dormi deux heures, après quoi j’ai été réveillé par des voix qui partaient d’assez loin, mais que le brouillard semblait apporter sous mes fenêtres.

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