Origine des Ballets Il n’y eut point de Théâtres en Italie avant la fin du quinzième siècle.
E da ciò nasce che il Minuetto, come dissi, quantunque più facile dell’altre danze a ballare, si rende più malagevole a piacere agli spettatori: e che per conseguire il fine di rendersi a quelli gradevole, uopo è che sia accompagnato dalle perfezioni di sopra recate.
A partir de cet instant jusqu’à, la fin du bal le bébé devint le « clou » de la soirée.
[12] Ma venghisi alla formazione del passo, se vorrassi fare col piè sinistro pongasi il destro avanti, e distaccandosi il piede manco, si piega e fassi un Contratempo in fianco alla sinistra, dappoi vi si lega il passo di Bourrée disfatto col piede sinistro, con il quale avrà fine il passo.
On seroit assuré du moins d une fin douce et tranquille.
63 CLION, DÉESSE de l’HISTOIRE, Sous qui j’ouvre mon Écritoire, A là, pour son plus digne Ébat, L’Image d’un fameux COMBAT, Et surtout est considérée Ladite Martiale ENTRÉE Où les Combattants admirés Se portent des Coups mesurés, Autant d’Estoc comme de Taille, Sans ensanglanter la Bataille ; Et puis, par un plaisant Refrain, Tous cabriolent sur la fin.
Il veut fuir ; mais il est arrêté par des gouffres de feu, qui s’entrouvrent sous ses pas ; l’ombre menaçante de Gélanior(1) lui apparoît, elle confirme au Tyran la fin de son règne ; l’inscription s’enflamme et devient plus terrible ; le bruit s’accroit ; le feu s’exhale de toutes parts, et Danaüs ne pouvant plus soutenir la vüe d’un pareil spectacle, tombe sans sentiment sur une couchette. […] FIN.
le bon et le vrai doivent l’emporter à la fin. […] À la fin d’un raisonnement académique sur la danse que j’eus avec M. […] Ce fut vers la fin du xve siècle.
Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin ; Et je me sauve à peine au travers du jardin. […] fin du quatrième chant de l’art poétique. […] Il fut, trente-trois ans, premier danseur à l’Opéra ; il y débuta en 1748 ; taille élégante d’à-peu-près cinq pieds six pouces ; bel homme, jambe fine, figure noble et très-expressive. […] On nomme ainsi un trépignement de pieds qu’Henri quatre faisait, en dansant la fin du dernier couplet des tricotets, et qui marque exactement la valeur de cinq syllabes de boire et de battre. […] Il ménage les contrastes, évite les contradictions, écarte les idées basses, dédaigne les petits détails, rejette les moyens frivoles ou gigantesques, n’adopte que les vues fines, les plans nobles, les idées justes.
De quelques Danses des Grecs Dans les mariages des Athéniens, une troupe légère vêtue d’étoffes fines et de couleurs riantes, la tête couronnée de Myrtes, et le sein paré de fleurs, paraissait au milieu du festin sur des symphonies tendres.
I quali essendo, tra le parti della Danza, la principale, ho dovuto minutamente ad uno ad uno andargli disaminando, per ravvisar di quanti e quali movimenti ciascuno di essi sia composto; affine di conoscere facilmente il principio, il mezzo ed il fine di ciascun passo; e sopra quale de’ detti movimenti si trovi la cadenza, o battuta, di quell’aria che si vuole ballare, senza la qual notizia è impossibile il poterla ravvisare.
Nella fine delle sue parti “a solo”, quando sta tutto anelante e difficilmente per conseguenza a prendere un esatto equilibrio, si pianta in aplomb più fermo che un Uomo aggiato e fresco non sta sui propri piedi.
Il faut d’abord sçavoir que le vrai pas de Menuet est composé de quatre pas, (qui cependant par leurs liaisons, suivant le terme de l’art ne font qu’un seul pas,) ce pas de menuet a trois mouvemens & un pas marché sur la pointe du pied ; sçavoir, le premier est un demi-coupé du pied droit, & un du gauche, un pas marché du pied droit sur la pointe & les jambes étenduës ; à la fin de ce pas vous laissez doucement poser le talon droit à terre, pour laisser plier son genoüil ; qui par ce mouvement fait lever la jambe gauche, qui se passe en avant en faisant un demi-coupé échappé, qui est le troisiéme mouvement de ce pas de menuet & son quatriéme pas.
Il est cependant d’autant plus inexcusable, que l’Aria n’est presque jamais qu’un morceau isolé et cousu sans art, à la fin de chaque Scène, qu’on peut l’ôter sans que l’action en souffre ; et que, si on le supprimait, elle y gagnerait presque toujours122. […] On leur donne pour l’ordinaire un morceau syllabique à la fin de l’Opéra ; on leur fait faire des marches, on les place dans le fond de quelques-uns des tableaux, pour parer le Théâtre.
Un Pantomime qui, à la fin du rôle d’Œdipe, était censé s’être crevé les yeux, manqua de mettre dans ses mouvements le caractère de la situation.