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98. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

pour l’engager à ne pas borner l’usage de son autorité au bien temporel des peuples, mais à l’étendre encore à leur bien spirituel : « Si toute la prudence par laquelle vous tâchez de maintenir les choses dans l’ordre, et de faire du bien aux hommes, si toute la force qui vous fait soutenir, sans vous étonner, tout ce que la malice des hommes peut entreprendre contre vous ; si toute la tempérance qui vous fait résister au torrent de la corruption, si toute la justice qui reluit dans l’intégrité de vos jugemens, qui vous fait rendre à chacun ce qui lui appartient ; si tout cela, dis-je, ne tend qu’à garantir ceux à qui vous prétendez faire du bien, de ce qui pourroit menacer leurs corps et leur vie, à assurer leur repos contre les entreprises des méchans, à faire que leurs enfans croissent comme de jeunes plantes, que leurs filles soient parées comme un temple magnifique, que leurs celliers regorgent l’un dans l’autre, que leurs brebis soient fécondes, que leurs bœufs soient gras, que nulle ruine ne défigure leurs héritages, qu’on n’entende point de clameurs publiques, qu’il n’y ait parmi eux ni querelle ni procès ; vos vertus ne sont pas plus de véritables vertus, que le bonheur de ceux pour qui vous travaillerez ne sera un véritable bonheur.

99. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24

Voila la satisfaction où ie me suis insensiblement engagé pour le contentement de ceux que ie disois au commencement de ce discours me vouloir peut-estre soubçonner de quelque extrauagance qui cederont sans doubte à la force de la raison, de l’authorité & de l’experience.

100. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91

Ne vous inquiétez pas de la lutte de principes qui peut s’engager entre nous.

101. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

» Nourrit se pressait trop de venir rassurer tout le monde par sa présence pour engager une conversation avec son camarade Bertram ; il put enfin reparaître, entraînant avec lui mademoiselle Dorus, pleurant alors de joie. » *** Marie Taglioni était nerveuse à l’excès. […] Pillet, et elle avait été engagée à des appointements assez modestes.

102. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »

On a cru qu’un homme devait être tout à fait hors de lui-même, pour pouvoir produire des choses qui mettaient réellement hors d’eux-mêmes ceux qui les voyaient ou qui les entendaient : ajoutez à cette première idée l’enthousiasme feint ou vrai des prêtres du Paganisme, que la charlatanerie les engageait à charger de grimace et de contorsion, et vous trouverez l’origine de cette fausse dénomination.

103. (1936) Philosophie de la danse

Ce que vous voyez ne vous montre par aucun indice l’état d’avancement de la tâche du pianiste ; mais vous ne doutez pas que cette action dans laquelle il est engagé ne soit à chaque instant soumise à une règle assez complexe, sans doute… Avec un peu plus d’attention, vous découvririez dans cette complexité certaines restrictions à la liberté des mouvements de ces mains qui agissent et se multiplient sur le piano.

104. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71

si vous pouviez voir comment ces esprits de malice se réjouissent à la vue de ceux qu’ils ont engagés dans cet amour impur ! 

105. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Les choses saintes se doivent traiter par des moyens saints et légitimes ; et celui qui veut faire une bonne œuvre, la doit commencer sur de meilleurs fondemens. » Tout le traité est terminé par une conclusion énergique et pressante, dont voici quelques traits : « Et c’est pour toutes ces raisons que nous exhortons nos églises à chasser et reléguer ces mauvaises coutumes aux enfers, dont elles sont venues, aux solennités des idoles, à une cour d’Hérode, enfin, aux lieux de débauches ; car, dans un si grand nombre de raisons de les juger toutes indignes de notre profession, il n’y en a pas une seule qui nous doive engager à les supporter comme choses indifférentes, et sous prétexte d’aucun profit public ou particulier.

106. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Dès sa plus tendre jeunesse, Carlotta montra pour la danse la vocation la plus décidée, et dès l’âge de sept ans, elle était engagée au théâtre de Milan, on elle exécutait des pas de premier sujet.

107. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

Je ne pensais nullement à une anecdote romanesque et je dégustais en égoïste le thé que l’on venait de me servir, lorsque je fus pris de remords et engageai mon hôte à en offrir au voyageur enfoui dans sa voiture.

108. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

Au lever de la toile l’Amour déchire son bandeau ; il appelle la lumière, et l’engage par ses chants à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la terre, et l’eau, afin qu’en leur donnant par la variété des couleurs mille beautés différentes, il puisse choisir la plus agréable.

109. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Elle appartint d’abord au ballet de la Comédie-Française et fut engagée à l’Opéra en 1762.

110. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Béatrix témoin de cette scène, fait alors des efforts pour les raccommoder, et pour les engager l’un et l’autre à s’approcher réciproquement.

111. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Béatrix témoin de cette Scene fait alors des efforts pour les raccommoder & pour les engager l’un & l’autre à s’approcher réciproquement.

112. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Véron avait engagé 17 000 francs dans l’affaire ; elle finit par lui en rapporter 100 000 par an26.

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