Le Courrier des Théâtres la décrivait ainsi : « Une ravissant statuette, représentant Mlle Fanny Elssler dans la cachucha, obtient en ce moment le succès le plus grand et le plus mérité. […] Le théâtre An der Wien tint un gros succès avec une parodie de la cachucha exécutée par l’excellent acteur comique Scholz, « le Falstaff viennois, le gigantesque tonneau de Heidelberg », comme l’appelait l’Allgemeine Theaterzeitung. […] Son succès fut moindre dans la Muette de Portici, qui fut reprise à la même époque. […] D’après les récits envoyés aux journaux français, le succès aurait été en rapport avec les largesses impériales et la principale interprète aurait été, selon son habitude, incomparable. […] Au foyer de la danse, on citait Mlle Céleste qui, simple marcheuse à l’Opéra, connue seulement par ses succès de galanterie, avait, disait-on, gagné aux Etats-Unis de quoi se faire construire un palais à Baltimore et devenir propriétaire d’un théâtre à Londres.
Qu’y a-t-il encore à dire sur Mlle Zambelli après vingt ans de succès, me demandera-t-on ?
Introduction L’art de la danse attira, dans les siècles les plus reculés, l’attention des législateurs ; les Grecs et les Romains, en l’introduisant dans le culte qu’ils rendaient à leurs divinités et, dans les cérémonies publiques, le pratiquèrent avec tant de succès qu’on a de la peine à se persuader aujourd’hui les merveilles que nous en trace l’histoire.
Elle est assez connue par ses détails et son succès pour que je me dispense de vous en faire la description.
Tout cela pour une petite fille, qui ne semble pas se douter qu’elle a du succès. […] Ces gens ne me connaissent pas. » Elle ne comprit pas et ne put pas comprendre que c’était à cause de son succès.
Les arts sont frères ; ils s’entraident réciproquement et se prêtent de mutuels secours ; le chant, dans plusieurs circonstances, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en demander au chant ; j’usai de celte complaisance réciproque ; elle assura mon succès, je dois cette nouveauté à une circonstance imprévue. […] Cependant ce ballet a eu à Paris et sur tous les théatres de l’Europe les plus brillans succès.
Les auteurs qui se distinguoient par un succès soutenu, avoient une représentation à leur profit, indépendante des honoraires qui leur étoient attribués, et le produit qui en resultoit valoit infiniment mieux que tout ce qu’on accorde chez nous au goût et à l’imagination. […] Personne ne rompoit cette ligne ; l’application, le zèle, et les succès pouvoient seuls la franchir, Si la mort n’eût, pas enlevé Roubillard, sculpteur français, et homme de mérite, il lui auroit fait, exécuter votre buste, ceux de Corneille et de Racine.
Si mes efforts ne sont pas couronnés par le succès, je n’enserai pas rebuté.
Les Spectateurs qui étaient enchantés de Pylade, écoutaient avec impatience les éloges extrêmes qu’on donnait à Bathylle ; et les partisans de celui-ci étaient outrés des succès de Pylade.
À la fin du spectacle, les Acteurs ou irrités ou enorgueillis de la diversité de leurs succès se battaient, s’égorgeaient derrière le théâtre.
Même les succès sans précédent de Nijinsky n’apportèrent qu’une amélioration partielle à cet état de choses.
Le succès s’annonce très vif ; et il n’a rien de forcé, de guindé, de démonstratif.
Une physionomie sympathique et agréablement animée qui ne se fige ni dans le sourire de la révérence ni dans la charmante panique des déboulés, l’utilisation très sensée des ports de bras — qui savent dans la variation citée accompagner la jambe et amplifier le cercle par elle tracé en spirale — voici les autres raisons des beaux succès de Mlle de Craponne.
Coralli, que l’on retrouve toujours quand il s’agit de succès chorégraphiques. […] Des cheveux châtains très doux, très soyeux et très brillants, ordinairement séparés en bandeaux, entourent ce front aussi bien fait pour porter le cercle d’or de la déesse que la couronne de fleurs de la courtisane. — Bien qu’elle soit femme dans toute l’acception du mot, l’élégante sveltesse de ses formes lui permet de revêtir le costume d’homme avec beaucoup de succès. — Tout à l’heure c’était la plus jolie fille, maintenant c’est le plus charmant garçon du monde ; c’est Hermaphrodite, pouvant séparer à volonté les deux beautés fondues en lui. […] Mais l’écolier, tirant celle-ci à part, lui conseille de n’aimer et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pris au bal un nœud de ruban, et qui est, ajoute-t-il pour assurer le succès de sa ruse, un personnage du plus haut rang. […] — Appelée le soir même à exécuter un pas de deux dans un divertissement nouveau, elle se met en devoir de le répéter devant un cercle de spectateurs privilégiés dont l’accueil lui donnera la mesure du succès qui l’attend devant le public.