C’est ainsi que, dans sa danse d’après Botticelli, elle était le vent, les nymphes, Vénus, — tout le Printemps.
Aussi toutes ces cérémonies et danses de cour s’accordent-elles parfaitement avec les éléments classiques de l’œuvre : danses d’ensemble des fées, variations de la princesse Aurore, des masques italiens, la célèbre valse villageoise avec guirlandes et corbeilles, le « pas de la vision » et des nymphes, épisode de « ballet blanc » venant se mêler à l’action fastueusement colorée.
Les Filles d’honneur des deux Reines, vêtues élégamment partie en Nymphes, partie en Naïades, servirent la Table du roi.
La Nymphe Écho qui fit le récit de la seconde Entrée amena les Habitants des montagnes résonantes.
« Dites à ce monsieur, s’écria-t-il, que moi, son père, je n’ai jamais entendu le pas de ma fille ; le jour où cela arriverait, je la maudirais68. » Marie Taglioni recueillit pour la première fois les fruits de l’éducation paternelle à Vienne, où elle débuta le 10 juin 1822 dans la Réception d’une jeune nymphe à la cour de Terpsichore. […] Des nymphes voltigent autour de lui.
Le gouvernement de Louis XVIII, qui avait bien d’autres matous politiques à fouetter, permit volontiers aux chats de la presse légère d’égratigner la robe et la réputation — pareillement de gaze — des « nymphes » de l’Académie. […] Deux rivaux séduits par l’aimable élève de Terpsychore se disputèrent la conquête de son cœur ; ils entrèrent en lice : la nymphe consentit à devenir le prix de celui qui posséderait le talent le plus enchanteur.
On jouait un ballet mythologique de circonstance : Réception d’une jeune nymphe à la cour de Terpsychore. […] Terpsychore et le ballet sombrèrent ; mais la jeune nymphe resta, et les applaudissements des spiritualistes la suivirent à Munich et à Stuttgard.
[voir Traité historique, IIe partie, livre IV, chap. 2, « Division de la danse théâtrale »] Des nymphes paraissent dans Tancrède ; elles dansent autour de lui, et les armes lui tombent des mains, sans autre motif apparent aux yeux du spectateur.
Le sourire rustique de Lise, la bonne fille en jupon court, filant le lin ou battant le beurre, n’est que le masque de la divinité ; c’est la blanche nymphe Terpsichore qui se cache sous ce travestissement trop évident ; et ces bras sous la toile grossière, mais ce sont ceux qui manquent à la Vénus de Milo.
Les filles d’honneur des Reines vêtues très également, partie en Nymphes, partie en Naïades ; elles avoient le soin de ranger les plats sur les tables, de donner à boire à la table Royale : des Satyres sortant du Bois, leur apportoient tout ce qui convenoit pour le service ; desorte qu’il sembloit que la fête étoit ordonnée par quelque Divinité champêtre, & que Comus y présidoit.
Les Nymphes sautent comme vous, Mais les Grâces dansent comme elle.
Imagine-toi qu’à Lyon, il y a cinq ans, en proie aux délicieuses agitations du premier amour, — c’était bien le premier, puisque je m’en souviens si bien, — je commis l’énormité d’acheter un superbe bouquet avec l’intention de le lancer à ma jeune nymphe.
Quatre actes arrangés par Blache, mis en musique par Schneitzhœffer, exposaient, avec profusion de nymphes et d’amours, l’aventure de l’adultère céleste, contée par Homère.
Diane et ses nymphes succédèrent à Mercure. La déesse faisait suivre une espèce de brancard doré, sur lequel on voyait un cerf : c’était, disait-elle, un Actéon qui était trop heureux d’avoir cessé de vivre, puisqu’il allait être offert à une nymphe aussi aimable et aussi sage qu’Isabelle. […] On vit d’un côté Iris sur un char traîné par des paons, et suivie de plusieurs nymphes vêtues d’une gaze légère, qui portaient des plats couverts de ces superbes oiseaux. […] Les filles d’honneur des deux reines, vêtues élégamment partie en nymphes, partie en naïades, servirent la table du roi. […] Le dimanche 15 Octobre, festin de la reine dans le Louvre ; et après le festin, le ballet de Circé et de ses nymphes ».