La première chose qui vous impressionne, c’est le lieu ; la rotonde sous la coupole, avec sa lumière blafarde, si chère à Degas, qui durcit les linéaments et fait saillir les reliefs, la nudité, l’extrême dépouillement de cet atelier de danse.
Le mélange des couleurs, leur dégradation, et les effets quelles produisent à la lumière, doivent fixer encore l’attention du maître de ballets ; ce n’est que d’après l’expérience que j’ai senti le relief que ces effets donnent aux figures, la netteté qu’ils répandent dans les formes, de l’élégance qu’ils prêtent aux groupes. J’ai suivi dans les jalousies, ou les fétes du serrail, la dégradation des lumières que les peintres observent dans leurs tableaux ; les couleurs fortes et entières tenoient la première place, et formoient les parties avancées de celui-ci ; les couleurs moins vives et moins éclatantes étoient employées ensuite.
Si donc un curé, qui a des lumières et du zèle, désire bien sincèrement de s’opposer aux maux sans nombre et très-grands qui naissent des danses, quel parti prendra-t-il ?
Trop rapides, sans doute, les deux épisodes qui se précipitent sur ce plateau garni de linoléum sous la lumière brutale et errante des projecteurs, pour étudier à fond l’inspiration et les moyens du maître français.
Elle leur montre leur Roi assassiné, respirant à peine, et Cassandre privée de la lumière. […] Oreste et Pylade paroîssent dans ce bois sombre qui ne reçoit d’autre lumière que celle des lampes funèbres. […] Cependant Oreste revient à lui, il revoit avec la lumière les objets hideux qui le persécutent.
Tout semble s’agiter autour de moi, les décors, les meubles et les lumières.
Il faisait terriblement sombre et la seule lumière perceptible était le tout petit rayon qui filtrait d’un de mes projecteurs mal fermé.
Pour finir, j’entendais danser, éclairée par-dessous, la lumière arrivant à travers un carreau sur lequel je me tenais, et ceci devait être le clou de mes danses.
Chaque personne, qui s’intéressait suffisamment à ses expériences pour ne pas craindre l’ennui de rester assise dans la lumière de telle ou telle couleur pendant une heure ou deux, pouvait sentir les influences variées que les colorations produisent sur l’organisme.
Et, les tournant vers la lumière, il fit jaillir de leurs surfaces toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.
Si le peintre de portrait veut faire une tête parfaitement ressemblante, ne faut il pas qu’il en étudie les traits et le caractère, ne faut-il pas encore qu’il la place dans la position la plus avantageuse à la ressemblance, qu’il choisisse le jour et le dégré de lumière qui sera le plus favorable ?
Armide en revoyant la lumière ne peut plus douter de l’inconstance de son amant ; c’est envain qu’elle l’appelle et qu’elle éclate en reproches.
Elle revoit la lumière et son amant ; elle se jette dans ses bras pour n’en sortir jamais.
Il portait un falot qui faisait une petite tache de lumière ronde dans la brume.