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55. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159

La première formée par les coryphées exécutera avec régularité et précision ; la seconde sera un peu moins exacte ; un troisième sera traînante et inexacte, et la quatrième vraiment sans talons et sans intelligence, se tramera péniblement, embrouillera tout, gâtera tout.

56. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

La seconde, l’école d’expression. […] La seconde enflamma tellement le cœur incandescent d’un gentilhomme à qui elle résistait, que ce dernier incendia la maison qu’habitait la cruelle, pour avoir l’occasion de l’emporter dans l’hôtel somptueux qu’il voulait lui offrir.

57. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111

Le Balet de la naissance de Venus finissoit-là, car la seconde partie concernoit sa puissance. […] Deux Indiens mettoient en corde les feuilles de tabac, & deux autres le hachoient pour la seconde Entrée : deux autres le piloient dans des mortiers pour le réduire en poudre, & deux autres le rapoient, faisant la troisiéme Entrée.

58. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »

Premier dessus chantant : clé de sol sur la seconde ligne, parcourt depuis l’ut au-dessous de la clé, jusqu’au la octave au-dessus de celui de la clé ; ce qui fait diatoniquement dix tons et demi. […] La seconde réflexion est un cri de douleur et de pitié sur les égarements et les préjugés qui subjuguent quelquefois des nations entières, et qui blessent leur sensibilité au point de leur laisser voir de sang-froid les usages les plus barbares.

59. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »

Notre sensibilité2 moins grande que la leur est la seconde.

60. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156

Je compare cette partie à un levier de la seconde espèce, c’est à dire à un levier, dans le quel le poids est entre l’appui et la puissance, tandis que l’appui et la puissance sont à ses extrémités.

61. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Il m’entretient de vos bontés et m’assure que vous avez été content de ma première lettre sur Garrick et que vous attendez la seconde pour me répondre.

62. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134

Psyché est triste ; sa contenance annonce tout à la fois son amour et son affliction : l’enfant de Cythère lui avoit apparu en songe ; elle avoit retrouvé son image sur le miroir ; il a disparu, mais il est dans son cœur : l’Amour, vivement touché s’approche, et sa physionomie réfléchie pour la seconde fois par la glace, rappelle Psyché au bonheur : il lui tend la main, elle veut s’en saisir, et ne trouvant qu’une surface polie, elle se retourne avec précipitation : mais l’Amour a disparu ; le jour baisse ; et ce dieu ordonne à la cour brillante de Psyché de s’éloigner.

63. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314

Je compare cette partie à un levier de la seconde espece, c’est-à-dire à un levier dans lequel le poids est entre l’appui & la puissance, tandis que l’appui & la puissance sont à ses extrêmités.

64. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

La première devait être éclairée d’une lumière bleue, la seconde d’une lumière rouge, la troisième d’une lumière jaune.

65. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55

J’avois divisé cette entrée en six classes toutes dégradées ; chaque classe étoit composée de trois chasseurs et de trois chasseresses, ce qui formoit en tout le nombre de trente-six figurans ou figurantes : les tailles de la première classe traversoient la route la plus proche du spectateur ; celles de la seconde les remplaçoient en parcourant la route suivante ; et celles de la troisième leur succédoient en passant à leur tour sous la troisième route, ainsi du reste, jusqu’à ce qu’enfin la dernière classe composée de petits enfants, termina cette course, en passant sur le pont.

66. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109

J’avois divisé cette entrée en six classes toutes dégradées ; chaque classe étoit composée de trois Chasseurs & de trois Chasseresses, ce qui formoit en tout le nombre de trente-six Figurants ou Figurantes ; les tailles de la premiere classe traversoient la route la plus proche du Spectateur ; celles de la seconde les remplaçoient en parcourant la route suivante ; & celles de la troisieme leur succédoient en passant à leur tour sous la troisieme route, ainsi du reste, jusqu’à ce qu’enfin la derniere classe composée de petits enfants termina cette course en passant sur le Pont.

67. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58

La seconde, à la fin de Juillet, après les moissons ; & la troisiéme au mois de Septembre, qui étoit celles des Tabernacles qui duroit huit jours, avec des jeûnes très-austeres, en mémoire de la sortie d’Egypte & du passage de la mer Rouge ; c’est pourquoi on la célébroit à la campagne sous des feuillées, comme je l’ai déja dit.

68. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Ce n’est pas un caprice, une fantaisie irréfléchie et spontanée, qui a fait donner le nom d’Arthur à l’être que la Lorette nomme la seconde moitié de son âme. […] La première fois on ne paye pas, on est reçu à titre d’ami ; la seconde fois c’est différent. […] A la seconde visite, la malade ne rapporte pas le parapluie, mais elle emporte un flacon ou une aquarelle, ou une statuette qu’un client a donnée au docteur, elle part en s’écriant : Docteur, c’est pour me rappeler que je vous dois deux visites.

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