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63. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-

Sardou ajouta : — Dites-lui, miss Fuller, traduisez-lui ce que nous venons de dire.

64. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-

… Pour mémoire, j’ajoute que la choriste américaine, dont j’ai parlé tout à l’heure, vint à Paris, et qu’un beau jour son amant la planta là.

65. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115

En attendant ce bienheureux retour, laissons agir les sots, n’ajoutons point au chagrin qu’ils éprouvent de voir tous leurs enfans mourir en venant au monde ; ils nous laisserons à défricher un champ vaste qui n’a produit sous leurs bras foibles et incertains, que des bluets et des pavots, mais qui cultivés par l’esprit et le goût des artistes, s’embelliront des plus riches productions.

66. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448

« Eh bien, m’a-t-il dit, nous avons le temps de faire le tour de l’édifice avant de dîner. » Et tout en marchant, il a ajouté : « Vous voyez !

67. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63

C’est ce que nous dit Noverre dans l’exemple qu’il apporte de la marche de l’homme ; ainsi quand il ajoute que l’Opposition est, lorsque l’homme, ou le danseur, a le pied droit devant, c’est-à-dire qu’il le porte en avant, il veut indiquer que le bras gauche doit, pour balancer la déclinaison de la ligne du centre de gravité, se porter en même temps en avant ; ce qui donne de plus au danseur infiniment de grâce, parce qu’il doit toujours éviter l’uniformité des lignes, comme la peinture le recommande à ses élèves.

68. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13

En France, dites-vous, on grave tout ; tant pis, Monsieur ; n’auriez-vous pas pu ajouter qu’en France on imprime tout : c’est encore une folie ; la sottise reste aux marchands de musique.

69. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61

J’ajouterai que le manque d’éducation et l’ignorance de la plupart des personnes qui se livrent au théâtre est contraire à leurs progrès.

70. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

On entendait des chants qu’on trouvait beaux, le chanteur ajoutait l’expression de l’action à celle des paroles, et toute l’impression était imputée au musicien, qui n’y avait que très peu ou point de part. […] Mais est-il bien sûr que le chant doit avoir par lui-même une expression, qui ajoute une nouvelle chaleur à l’expression des paroles ? […] Cette prétention est si peu chimérique, que dans Lully même on trouve, quoiqu’en petit nombre, des symphonies, des chœurs, des airs de mouvement qui ont l’expression qui leur est propre, et qui par conséquent ajoutent à l’expression des paroles. 3°. […] Récitatif [Article de Rousseau]), et celle que doit encore y ajouter l’acteur qui l’exécute. […] Et comme il est certain qu’un excellent comédien ajoute beaucoup à l’expression du poète par sa manière de débiter, il faut aussi que le récitatif soit un surcroît d’expression, en devenant une déclamation notée et permanente.

71. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

Elle n’ajouta qu’une petite babiole à ma commande, un médaillon avec chiffre en diamants… Je reçus la note dans la suite, mais elle était partie. […] Je crois bien que la Salomé de Loïe Fuller va ajouter une Salomé imprévue à toutes les Salomés que nous avons pu voir.

72. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201

) contre ce qui dans les noces déshonoroit la sainteté du mariage, et en particulier contre la coutume des danses, il fait d’abord observer à ses auditeurs, que le mariage étoit regardé comme une chose très-honorable chez les étrangers, c’est-à-dire chez les païens : « Cependant, ajoute-t-il, le mariage étant fait, il se passe aux noces les choses les plus ridicules et les plus indécentes, dont beaucoup de personnes n’aperçoivent pas le ridicule et l’indécence, trompées qu’elles sont par la coutume, et n’ayant qu’elle dans l’esprit. » Et quelles sont ces choses indécentes autorisées par la coutume, qui, selon saint Jean Chrysostôme, déshonorent le mariage ? […] » Et pour montrer que les empereurs n’avoient pas de sujets plus fidèles et plus remplis de respect et d’amour pour eux que les chrétiens, Tertullien ajoute peu après : (c. 39.)

73. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128

La poésie, la musique vocale et instrumentale ; l’architecture et la sculpture feintes ; la peinture dans tous ses genres, la danse et les ballets, la mécanique enfin ; ne peut-on pas ajouter les illuminations enrichies de médaillons, de devises et d’emblêmes, les feux d’artifice en action, les feux d’eau, le simulacre d’un combat naval ?

74. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Durey de Noinville, qui publia en 1753 une Histoire du théâtre de l’Académie royale de musique, déclare que, dès 1706, Brossard, à la fin de son Dictionnaire de musique, fait le dénombrement de neuf cent soixante-et-treize auteurs, anciens et modernes qui ont traité de la musique ; Brossard ajoute qu’il en a omis une quantité plus considérable que celle qu’il rapporte. […] Mais ils prennent soin d’ajouter qu’on ne peut pas encore donner à ce spectacle le nom d’opéra, qui n’était pas connu dans ce royaume avant le cardinal Mazarin. […] On ajoute qu’il jouait admirablement son rôle, et faisait en l’air tous les mouvemens qu’il pourrait faire sur terre. […] Mademoiselle Prévôt resta ensuite, pendant plus de vingt-cinq ans, en possession des suffrages de la cour et de la ville ; elle fut remplacée par la demoiselle Salé, dont on vantait l’élégante gravité ; enfin, le nom de Camargo est depuis trop long-temps inscrit dans le panthéon de la danse, pour qu’il soit nécessaire de rien ajouter aux louanges qui nous ont été transmises par les contemporains de cette danseuse, sur sa grâce vive et légère. […] Nous ajouterons que, depuis la révolution de 1830, la redevance des petits théâtres est abolie.

75. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

On dirait que toutes ces gaillardes-là ont vu le feu… — Et le loup, ajouta le comte Courand, en prenant le menton du premier venu de ces carabiniers imberbes. […] — Seulement, ajouta-t-elle, je vous avertis que je serai obligée d’amener maman ; sans cela, elle ne me laisserait pas venir.

76. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131

Qu’ils se retirent donc ; et s’ils ont fait une faute de s’être approchés de telles assemblées du monde, qu’ils n’ajoutent pas une seconde faute d’être ou parties, ou spectateurs des actions qu’ils doivent condamner.

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