Pour baisser le bras, on descend la main en dedans, et le bras descend continuellement à sa place. Pour lever alternativement les deux bras, au premier mouvement que l’un fait pour redescendre, l’autre fait le sien pour se lever à son tour et arriver à la hauteur qui convient, en même tems que l’autre vient en bas reprendre sa place. […] Quand ils sont à la hauteur de la poitrine, pour baisser les bras, les mains rentrent en dedans et les bras descendent à leur place. […] Le pas, qui s’exécute sur place, doit être considéré comme tems de la danse nommé le sauté, parce que le corps n’a point changé de direction. […] Le pas qui s’exécute sur place, comme souvent un balancé dans la contredanse, doit être considéré comme tems de la danse.
Lorsqu’il s’élèvera parmi nous quelque grand talent assez instruit des possibilités de l’Art, pour se les rendre propres, sa place, n’en doutons point, lui sera marquée dans l’histoire des Artistes fameux, à côté des Pylades et des Bathylles ; et sa Danse digne seule de ce nom sera désormais appelée la Danse Française.
Quant il m’eût fait cette harangue, Un autre déployant sa langue, Paraissant Homme de crédit, En s’approchant de moi me dit D’une manière spécieuse, » La Salle est si peu spacieuse, » Que je puis vous faire serment » Qu’elle ne contient seulement, » Des places qui soient un peu bonnes.
Les chœurs remplissent le théâtre, et forment ainsi un fort agréable coup d’œil ; mais on les laisse immobiles à leur place : on les entend dire quelquefois que la terre s’écroule sous leurs pas, qu’ils périssent, etc. et pendant ce temps ils demeurent tranquilles au même lieu, sans faire le moindre mouvement. […] (Spectacle.) pour prendre la place, ou pour tenir la place, terme d’opéra.
Une balustrade de bois amovible sépare cette partie de l’autre : on y place de gros lampions pour éclairer le premier plafond. […] Rien n’est plus commun que d’imaginer une décoration en formant le plan d’un opéra ; on place les lieux différents dans lesquels se passeront ses différents actes. […] Ainsi à la belle architecture d’un palais magnifique ou d’une place superbe, il fera succéder des déserts arides, des rochers escarpés, des antres redoutables. Le spectateur effrayé sera alors agréablement surpris de voir une perspective riante coupée par des paysages agréables, prendre la place de ces objets terribles. […] La ferme au théâtre de l’Opéra de Paris, se place pour l’ordinaire après le sixième châssis : elle est partagée en deux.
Je savais d’avance qu’il n’y aurait pas de place pour quelque chose d’aussi insignifiant que moi. […] Les journaux disaient que les places étaient louées entièrement et pour des semaines et des semaines et que pas une centième partie de ceux qui désiraient la voir ne pourraient réaliser ce désir. […] — Il y a tant d’artistes célèbres à New-York, répondit ma mère, comment veux-tu qu’il y ait de la place pour toi ? […] je vais vous donner des places pour vous et pour votre mère. […] — Et j’ai une place pour vous aussi.
Il se place dans quelque air que l’on veut où il fait toûjours un fort bon effet, mais comme j’ai dit que l’on le fait differemment je donnerai aussi deux manieres d’y faire les bras.
Un camp, des évolutions militaires, les exercices, les attaques et les deffenses des places, un port de mer, une rade, un embarquement, et un débarquement ; voilà des images qui doivent attirer nos regards, et porter notre art à sa perfection, si l’exécution en est naturelle. […] J’ai suivi dans les jalousies, ou les fétes du serrail, la dégradation des lumières que les peintres observent dans leurs tableaux ; les couleurs fortes et entières tenoient la première place, et formoient les parties avancées de celui-ci ; les couleurs moins vives et moins éclatantes étoient employées ensuite. […] Dans les décorations de goût et d’idée, comme Palais Chinois, Place publique de Constantinople, ornés pour une fête, genre bizarre qui ne soumet la composition à aucune règle sevère, qui laisse un champ libre au génie, et dont le mérite augmente à proportion de la singularité que le peintre y répand ; dans ces sortes de décorations, dis-je, brillantes en couleurs, chargées d’étoffes rehaussées d’or et d’argent, il faut des habits drapés dans le Costume, mais il les faut simples et dans des nuances entièrement opposées à celles qui éclatent le plus dans la décoration si l’on n’observe exactement cette règle, tout se détruira faute d’ombres et d’oppositions ; tout doit être d’accord, tout doit être harmonieux au théâtre : Lorsque la décoration sera faite pour les habits, et les habits pour la décoration, le charme de la représentation sera complet. […] non, Certes ; mais on prendra pour le tableau tranquille, un Apollon proportionné aux différentes parties de la machine ; un jeune homme de quinze ans, que l’on habillera de même que le véritable Apollon : il descendra du Parnasse, et, à l’aide des ailes de la décoration, on l’escamotera, pour ainsi dire, en substituant à sa place la taille élégante, et le talent supérieur. […] Si dans une décoration représentant un autre de l’enfer ; le maître de ballets veut que la levée du rideau laisse voir, et ce lieu terrible, et les tourmens des Danaïdes, des Ixion, des Tentale, des Sisyphes, et des différents emplois des Divinités Infernales ; s’il veut enfin offrir au premier coup-d’œil un tableau mouvant et effrayant des supplices des enfers, comment réussira-t-il dans cette composition momentanée, s’il n’a l’art de distribuer les objets, et de les ranger dans la place que chacun d’eux doit occuper ; s’il n’a le talent de saisir l’idée première du peintre, et de subordonner toutes les siennes au fond que celui ci lui a préparé ?
Un camp ; des évolutions militaires ; les exercices ; les attaques & les défenses des places ; un port de mer ; une rade ; un embarquement & un débarquement : voilà des images qui doivent attirer nos regards, & porter notre Art à sa perfection, si l’exécution en est naturelle. […] J’ai suivi dans les Jalousies ou les Fêtes du serrail la dégradation des lumieres que les Peintres observent dans leurs Tableaux ; les couleurs fortes & entieres tenoient la premiere place, & formoient les parties avancées de celui-ci, les couleurs moins vives & moins éclatantes étoient employées ensuite. […] Dans les décorations de goût & d’idée, comme Palais Chinois, Place publique de Constantinople, ornés pour une Fête, genre bizarre qui ne soumet la composition à aucune regle sévere, qui laisse un champ libre au génie, & dont le mérite augmente à proportion de la singularité que le Peintre y répand ; dans ces sortes de décorations, dis-je, brillantes en couleurs, chargées d’étoffes, rehaussées d’or & d’argent, il faut des habits drapés dans le costume, mais il les faut simples & dans des nuances entiérement opposées à celles qui éclatent le plus dans la décoration. […] Non, Monsieur, mais on prendra pour le Tableau tranquille un Apollon proportionné aux différentes parties de la machine ; un jeune homme de quinze ans que l’on habillera de même que le véritable Apollon ; il descendra du Parnasse, & à l’aide des ailes de la décoration on l’escamotera, pour ainsi dire, en substituant à sa place la taille élégante & le talent supérieur. […] Si dans une décoration représentant une entrée de l’Enfer, le Maître de Ballets veut que la levée du rideau laisse voir & ce lieu terrible & les tourments des Danaïdes, des Ixion, des Tentale, des Sysyphe, & les différents emplois des Divinités infernales ; s’il veut enfin offrir au premier coup d’œil un Tableau mouvant & effrayant des supplices des Enfers, comment réussira-t-il dans cette composition momentanée, s’il n’a l’Art de savoir distribuer les objets & de les ranger dans la place que chacun d’eux doit occuper ; s’il n’a le talent de saisir l’idée premiere du Peintre, & de subordonner toutes les siennes au fonds que celui-ci lui a préparé ?
Le Roi regarda par ses croisées l’illumination de la place. […] Les gardes françaises et suisses bordaient la place des deux côtés. […] Ils virent par les fenêtres l’illumination de la place. […] Cette troupe céda la place à Mercure. […] La forme de ce théâtre représentait une place publique et les rues adjacentes.
Les bras de ce pas sont des moins embarrassans, & la raison en est facile à comprendre, comme je vais vous l’expliquer en peu de mots ; ce pas se fait en place & ne marche pas, il ne fait point non plus de grands mouvemens qui demanderoient beaucoup de force : ce n’est à proprement parler qu’un jeu de cou-de-pied qui engage les autres jointures à faire aussi quelques mouvemens : ainsi dans les bras ce ne sont que les poignets qui s’émouvent ; Sçavoir une fois de bas en haut, & l’autre de haut en bas.
L’importune et grande chaleur Cédant la place à la fraîcheur, Ainsi que Phébus aux étoiles, La nuit tendit ses sombres voiles, Mais, pour chasser l’obscurité, Des lumières en quantité (Dont quatre mille était le nombre), Dissipèrent tout à fait l’ombre.
Mais la jeunesse Romaine prit la place des baladins qu’on venait de chasser.