On marche dans les sentiers difficiles qui conduisent au Temple de mémoire à côté des Montesquieu, lorsqu’on peint comme Vanlo.
Si elle vous assoupit, jettez la au feu ; vous me délivrerez d’un joug pésant et d’une servitude qui enchaîne mes idées et met ma mémoire à la torture.
Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. […] Petits Mémoires de l’Opéra, p. 19.
Ce sens, si l’on en croit Platon, produit l’harmonie de tous les mouvements de l’âme et du corps que la Danse sert à entretenir. « Lorsque (dit il poétiquement), la raison répète à la mémoire les concerts que cette harmonie a formés, toutes les puissances de l’âme se réveillent ; et il se forme une Danse juste et mesurée entre tous ces divers mouvements. » On dirait que ce philosophe ne nous considère que comme des espèces de clavecins bien accordés, sur lesquels des mains exercées touchent les airs différents, qu’un caprice heureux leur suggère.
Ensuite ce sont les danses à deux, autrefois c’étoit la courante qui se dansoit aprés les branles, & même Louis Quatorze d’heureuse mémoire la dansoit mieux que personne de sa Cour, ce que je dirai dans la suite ; mais à présent c’est le menuet qui se danse après les branles.
Comme la représentation, et par conséquent l’imitation fut leur objet principal, il était naturel, que ces hommes extraordinaires, que la tradition avait agrandis dans leur mémoire, se présentassent les premiers à leur esprit, comme les sujets les plus propres à faire le fond des tableaux animés, qu’ils se proposaient de peindre.
Cheveux très noirs, œil très noir, sourcils très noirs, petites moustaches très noires. « Quatre noirceurs, ajoutent les Petits Mémoires de l’Opéra, qui donnent ordinairement de l’expression à une figure et qui n’en donnaient aucune à la sienne. » Regina Forli. […] Mais il s’interrompit dès après la première colonne : « Je suis obligé de m’arrêter, déclara-t-il à ses lecteurs ; il n’y a plus d’a dans les casses de l’imprimerie. » On me permettra de ne citer que pour mémoire les noms de mesdemoiselles Fioretti, Boschetti, Salvioni, Mourawief, Granzow, etc.
Mais elle n’efface pas de ma mémoire la figure de porcelaine de la ballerine-Karsavina, son sourire adorablement niais et ses beaux yeux vides d’être sans âme.
On n’a point attendu sa mort pour rendre hommage à sa mémoire, L’estime et la reconnoissance publique ont voulu que ce grand compositeur jouit de son triomphe, Ces Oratorios sont coupés par les symphonies enchanteresses d’Hayden et par des Concertos exécutés par les hommes les plus célèbres.
Cette académie devenant dailleurs plus nombreuse, se distingueroit peut-être davantage ; les efforts des provinciaux exciteroient les siens ; les danseurs qui y seroient agrégés, serviroient d’éguillon à ses principaux membres ; la vie tranquille de la province faciliteroit à ceux qui y sont répandus, les moyens de penser, de réflechir et d’écrire sur leur art ; ils adresseroient à la société des mémoires souvent instructifs ; l’académie, à son tour, seroit forcée d’y repondre ; et ce commerce littéraire en répandant sur nous un jour nouveau, nous tireroit peu à peu de notre langueur et de notre obscurité. […] Que de mémoires excellents ! […] et quel moyen plus sûr pour elle et pour les danseurs qu’elle croiroit devoir célèbrer, de voler à l’immortalité, que celui d’emprûnter les aîles de deux artistes faits pour graver à jamais au temple de mémoire, et leurs noms, et celui des personnages, qu’ils voudront illustrer ?
Cette Académie devenant d’ailleurs plus nombreuse se distingueroit peut-être d’avantage ; les efforts des Provinciaux exciteroient les siens ; les Danseurs qui y seroient agrégés, serviroient d’aiguillon à ses principaux Membres ; la vie tranquille de la Province, faciliteroit à ceux qui y sont répandus les moyens de penser, de réfléchir & d’écrire sur leur Art ; ils adresseroient à la Société des Mémoires souvent instructifs ; l’Académie à son tour seroit forcée d’y répondre, & ce commerce littéraire en répandant sur nous un jour lumineux nous tireroit peu à peu de notre langueur & de notre obscurité. […] Que de Mémoires excellents ! […] & quel moyen plus sûr pour elle & pour les Danseurs qu’elle croiroit devoir célébrer, de voler à l’immortalité que celui d’emprunter les ailes de deux grands hommes faits pour graver à jamais au temple de Mémoire & leurs noms & celui des personnages qu’ils voudront illustrer ?
Par là, finit le premier Acte, Selon qu’en ma mémoire exacte, J’en ai le détail retenu : Et voici tout le contenu Du second, sans erreur quelconque.
Tous les trésors de la mémoire, de l’esprit et de l’Art, suffisaient à peine à la multitude des compositions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des Romains.