Dans les contes de fées, on goûtera beaucoup La Chatte blanche et Le Chaperon rouge, d’une naïveté si subtile, et encore Les Princesses de porcelaine, chinoiserie rococo, dont l’auteur est feu Léon lvanoff, qui fut, à Pétrograd, l’émule de Petipa.
Juin, vers les deux heures après midi, la Rosière, vêtue de blanc, frisée, poudrée, les cheveux flottans en grosses boucles sur les épaules, accompagnée de sa famille et des filles du village, aux quelles les garçons donnent la main, se rend au lieu destiné pour la cérémonie, au son des violons, des haubois et des musettes. […] Les uns ornent sa maison de festons de fleurs, et y posent le drapeau blanc, symbole de l’innocence, d’autres forment un concert champêtre et se livrent à des danses qui expriment la joie.
Tous les critiques la vantèrent ; tous les poëtes la chantèrent ; Edmond Texier, entre autres, qui lui sonna le sonnet suivant : Lorsque Taglioni, la fée aux blanches ailes, Quittait la salle aimée où pleuvaient tant de fleurs, L’insouciant Paris aux amours infidèles Ne la vit pas partir sans répandre des pleurs. […] Elle avait la poitrine très sortie et très blanche, les bras ronds et d’un contour moelleux, les yeux bleus, le sourire facile, la jambe forte, le pied petit, mais épais, la chevelure blonde, mais rebelle.
Une symphonie en blanc majeur. […] Ce quatrain de contiseur était enfoui dans une touffe de lilas blancs : Un nid de serpents dans un buisson d’écrevisses !
Afin d’honorer MELPOMÈNE Qui préside, comme Inhumaine, Aux tragiques Événements, On lui fait voir ces deux AMANTS62 Qui dessous un MÛRIER s’occirent, Dont les Mûres blanches rougirent.
Dans ce cercle magique, la victime jusqu’alors immobile, blême sous son bandeau blanc, exécute sa danse macabre.
J’aime particulièrement le quatrième acte ; ce séjour élyséen où se prélassent les ombres en perruques et paniers blancs fut, pour les sujets de Louis le Bien-aimé, ce que le paradis de Chariot avec les hobbies ailés est aujourd’hui pour les voyous de San-Francisco.
Les dents sont petites, régulières et blanches comme des perles ; le nez est droit, gracieux ; la bouche dessine l’arc de Cupidon. […] La danse blanche à elle seule dure onze minutes.
Pour éviter des détails trop minutieux, je me bornerai à vous dire qu’il regnoit au milieu d’un jardin un vaste bassin de marbre blanc, au centre du quel s’elevoit un socle de marbre. Arlequin s’élance sur ce socle, s’y pose en attitude ; son accoutrement disparoit ; je ne vis plus qu’un Triton de marbre blanc, ayant à sa bouche une trompe marine, longue environ de deux pieds, et dont le sommet, ou l’entonnoir pouvoit avoir dix pouces de diamètre.
Ce dais était de damas cramoisi, chargé de galons d’or, et des aigrettes de plumes blanches au-dessus. Le buste du Roi, en marbre blanc, était placé au-dessous de ce tableau, sur une console dorée. […] Le plafond était tendu d’une toile blanche au-dessous des poutres, encadrée d’une bordure dorée, faisant ressaut au-dessus des cariatides. […] Cet édifice, qui était de relief en toutes ses parties, était feint de marbre blanc. […] On voyait la statue du dieu en marbre blanc, qu’environnaient les satyres en lui présentant leurs hommages.
Prosper, sans s’inquiéter de mon ébahissement, posa la pendule sur la cheminée, mit la clef sous le socle et sortit en me lançant un regard chauffé à blanc.
Je ne sais si le nom de Mlle Roselly est un nom de guerre ; mais s’il en est ainsi, on ne saurait trouver mieux pour la peindre ; blanche, blonde et rose.
Une écharpe de tartan nouée sur le corsage blanc.