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108. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

La dernière figure offre un groupe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des femmes du Sérail et du Grand-Seigneur ; Zaïre et Zaïde sont assises à ses cotés.

109. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434

La derniere figure offre un grouppe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des femmes du Serrail & du Grand Seigneur ; Zaïre & Zaïde sont assises à ses côtés.

110. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

Ainsi dans toutes les églises on pratiqua un terrain élevé, auquel on donna le nom de chœur : c’était une espèce de théâtre séparé de l’autel, tel qu’on le voit encore à Rome aujourd’hui dans les églises de Saint-Clément et de Saint-Pancrace.

111. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

Quand elle s’aperçut que les maîtres du logis n’étaient point mariés régulièrement, sa dignité se révolta ; malgré le chiffre élevé de ses appointements, elle annonça son départ.

112. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

Cette action en rompant la chûte donnoit à mes jambes la facilité de se mouvoir, parce que je m’étois élevé au-dessus de la planche, & qu’un demi-pouce d’élévation lorsque l’on a de la vîtesse, suffit pour battre l’entrechat.

113. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

Elle a élevé la maman Sacré à la dignité de grande maîtresse de sa maison et la fille à celle de demoiselle de compagnie.

114. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »

Les enfants ont presque tous le grasseyement du c et du d, ainsi que celui des doubles l ; ils le quittent cependant avec facilité, et l’on ne dit plus, lorsqu’on est bien élevé, tompagnie pour compagnie, ni Versayes pour Versailles.

115. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Cependant frappé d’une terreur soudaine, il se retourne, voit une femme expirante, et ses sœurs en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d’une main tremblante le voile qui lui dérobe les traits de celle à qui il vient involontairement de donner la mort ; à l’aspect de sa mère, il recule d’horreur et d’effroi, il veut se frapper, mais Electre et Pylade volent à son secours et le désarment ; il tombe sans connoissance sur une tombeau peu élevée.

116. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

. ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719 fr. — Ensemble 1,003,719 fr. — Ses dépenses furent à 1,221,648 fr. — Il perdit 217,929 fr. […] Il n’est pas un étranger de distinction qui ne descende d’abord au foyer de l’Opéra ; il n’est pas une seule réunion du monde élevé dont le foyer de l’Opéra ne répète les échos ; on y achève les dîners diplomatiques ; on y commence les soirées du château et de la banque ; le foyer de l’Opéra, pour la haute société politique, est une halte indispensable entre la salle à manger et le salon.

117. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Le Diable boiteux a été le ballet par excellence de Fanny Elssler, cette Allemande qui s’était faite Espagnole ; Fanny Elssler, la cachucha incarnée, la cachucha de Dolorès, élevée à l’état de modèle classique ; Fanny Elssler, la plus vive, la plus précise, la plus intelligente danseuse qui ait jamais effleuré le plancher d’un théâtre du bout de son orteil d’acier.

118. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Le visage, miroir fidèle et interprète éloquent des sentimens de l’ame, doit peindre cette douce gaîté qui donne tant de charmes aux réunions des gens bien élevés. […] Presque toutes les formations des pas se réduisent aux actions suivantes : le plié (inflexion des genoux) ; le glissé (action de mouvoir le pied à terre sans la quitter) ; l’élevé (extension des genoux pliés) ; le sauté (action de s’élever en l’air) ; le tourné (action de mouvoir le corps d’un côté ou d’un autre) ; et enfin le retombé (chute du corps forcé par son propre poids).

119. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Pour la biographie de Viganò, comme pour tous les renseignements concernant son œuvre, je suis, à moins d’indications contraires, le livre de Carlo Ritorni, véritable monument élevé à la gloire du grand chorégraphe.

120. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

et qu’elle se flatte d’engendrer d’autres prodiges que des coups de pied très élevés, des battements, et des entrechats péniblement appris pendant son apprentissage ?

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