Sa retraite de l’opéra porta un coup fatal à la belle danse : privée de ce beau modèle, on l’a vue s’égarer dans les confins de l’extravagance.
J’ai pensé faire une folie, En oubliant cette jolie, Cette pucelle Sévigny, Objet de mérite infini : Certes, moi, qui l’ai deux fois vue De divins agréments pourvue, Et d’une très rare beauté, Aux Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en venait me dire, Et fut-ce le Roi notre Sire, As-tu rien vu de si mignon ?
On y a pratiqué quatre petites loges, deux de chaque côté, qui se louent à l’année ; elles n’ont vue que sur le théâtre en plongeant, et n’ont aucune communication avec la salle. […] Elles restent quelquefois après que la ferme a été retirée, et cette vue coupe la perspective et ôte l’illusion. 3°.
L’attitude vue de profil, fig.
Il faut l’avoir vue.
il me répondit qu’il n’aimoit ni la farce ni les farceurs, et qu’il avoit toujours pensé que la vue des petites choses conduit insensiblement à la médiocrité. […] Bon s’ils n’avoient en vue que l’état actuel de la poésie, et la décadence de l’art dramatique ; mais les autres arts soutiennent leur ancien éclat.
Mais au moment où, dans la joie de mon âme, j’étais prêt à lui rendre toute la ferveur de mon premier amour, elle fondit en larmes ; c’est la seule fois que je l’ai vue pleurer. […] Mes études se trouvent très mal de cette émigration annuelle, mes dispositions d’esprit en ressentent une fluctuation qui ôterait toute vue d’ensemble à mon travail ; votre jeune architecte me rendra donc grand service s’il marche vite, et je suis résolu à lui en savoir gré de toutes les manières.
Et combien cette vue est-elle capable de produire dans l’ame de mauvaises pensées et de mauvais désirs, qu’on ne peut alors dire être involontaires, puisqu’on veut ce qui les produit !
Le danseur ne peut alors achever ses temps, et son corps, ébranlé par des mouvements aussi rapides, fait des contorsions qui blessent la vue.
Labbe, tom. 6, p. 112) « qu’il y en a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on vienne aux jours de fêtes, non dans des vues droites et saintes qu’on doit avoir, mais pour danser et chanter des chansons honteuses.
S’il en est ainsi, nous tendrons à croire que les étoiles du firmament latin doivent être le plus souvent envisagées de face, tandis que les danseuses slaves gagnent infiniment, vues de profil.
Zirca ne pouvant être insensible à la vue d’un tableau si touchant ni résister aux prières des habitans, relève Belton et lui pardonne.