/ 170
159. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Mais poursuivons ; dans l’instant où tout le inonde se livre à l’expression d’une joye vive et pure, que les tables sont servies, que l’on boit, mange, que l’on chante, il paroit sur une colline qui termine le fond de la décoration une troupe de bandits ou de miquelets, qui, suivant leur coutume, se eouvroient le visage d’un masque de velours noir, non pas pour danser comme jadis à l’opéra, mais pour commettre leurs vols sans courrir les risques d’être reconnus. […] Je leur dirai que cette noblesse n’existe plus, même à l’opéra Berceau de son origine, depuis que se spectacle pompeux a emprunté les petits chevaux d’osier de Dom Japhet d’Arménie, depuis qu’on y a introduit des niais dégoûtants dont les plates maiseries révoltent le public et qui ne feroient pas sourire les spectateurs des petits théâtres des Boulvards ; depuis enfin que l’on a mis sur cette magnifique scène où les arts imitateurs s’empressent à déployer leurs trésors, des ballets dont les sujets sont indécents.

160. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Quant au Casino, après trois semaines d’exhibition de mon imitatrice, il fut contraint de fermer ses portes pour répéter un nouvel opéra

161. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39

Dorat a fait avec justice l’éloge de la danse, de la pantomime et du ballet, où : « Là pour nous enchanter tout est mis en usage, « Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. » Le poète a rendu hommage à l’art choréographique des Noverre, des Dauberval et des Gardel, dont l’origine, ainsi que celle des Opéras et des spectacles, se doit à Bergonce de Botta, gentilhomme de Lombardie, qui signala son goût par une fête éclatante qu’il prépara dans Tortone pour Galeas, duc de Milan, et pour Isabelle d’Aragon, sa nouvelle épouse.

162. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37

Depuis quelque temps on commence à sentir à l’Opéra le mérite des Pantomimes .

163. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Le haut personnage, familier avec les puissants de la terre, se fait petit devant une célébrité naissante d’opéra. […] Fanny répond ; elle surmonte la crainte qu’elle éprouve, elle, fille d’opéra sans instruction, sans orthographe, à placer de sa prose sous les yeux de l’un des plus merveilleux stylistes du temps ; elle copie des vers qui expriment ses sentiments mieux qu’elle ne saurait le faire, et les envoie à son ami. […] Lorsqu’à son arrivée à Paris les journaux célébrèrent en elle la fée qui avait charmé la captivité du prisonnier de Schœnbrunn, le Dr Véron, directeur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir.

164. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32

La danse des Matassins ou des Boufons est encore des plus anciennes ; les danseurs étoient vêtus avec des corcelets, des moirons dorez, des sonnettes aux jambes, avec l’épée & le bouclier à la main : ils dansoient avec des contorsions belliqueuses : on nous en a donné quelques représentations dans des Entrées à l’Opéra.

165. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Giselle est le premier ballet que Carlotta Grisi ait dansé à l’Opéra, où elle avait débuté par ce pas si brillant de la Favorite, qui est encore un des plus beaux fleurons de sa couronne chorégraphique.

166. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

Il n’en est point, Monsieur, qui me fatiguent autant que la composition des ballets de certains opéras.

167. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434

Il n’en est point, Monsieur, qui me fatiguent autant que la composition des Ballets de certains Opéra.

168. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

Plus tard vinrent les premiers sujets de l’opéra et du ballet, que nous applaudîmes, en essayant de distinguer parmi eux le véritable objet de notre ovation.

169. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180

L’orchestre de l’opéra est, sans contredit, le centre et la réunion des musiciens habiles ; il n’est plus nécessaire de les avertir comme autrefois qu’il y a des dièses à la clef.

170. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

L’Orchestre de l’Opéra, est sans contredit le centre & la réunion des Musiciens habiles ; il n’est plus nécessaire de les avertir comme autrefois qu’il y a deux dieses à la Clef.

/ 170