Que de tableaux bisarres et singuliers ne trouvera-t-il pas encore dans la multitude de ces oisifs agréables, de ces petits-maîtres subalternes, qui sont les singes et les caricatures des ridicules de ceux à qui l’âge, le nom ou la fortune semblent donner des priviléges de frivolité, d’inconséquence et de fatuité !
elles perdent leur nom, leurs charmes et leur effet ; ce n’est plus que de la minauderie dont la fadeur devient insupportable.
Que de Tableaux bizarres & singuliers ne trouvent-ils pas encore dans la multitude de ces oisifs agréables, de ces petits Maîtres subalternes qui sont les singes, & les copies chargées des ridicules de ceux à qui l’âge, le nom, ou la fortune semblent donner des privileges de frivolité, d’inconséquence & de fatuité !
Le goût en est le distributeur, c’est lui qui donne aux graces de la valeur & qui les rend aimables : marchent-elles sans lui, elles perdent leur nom, leurs charmes & leur effet ?
Mais, à toi, je puis bien dire que mes parents eussent mieux fait de me laisser épouser ce petit officier sans nom et sans fortune qui, du moins, partageait tous mes goûts, et qui, n’ayant guère plus d’esprit et de savoir que moi, ne m’eût pas infligé le supplice d’être par trop son inférieure.
Salvatore Viganò, par Henry Prunières Il n’y a plus aujourd’hui que les stendhaliens pour connaître le nom de Viganò. […] « Souvent, écrit Stendhal, lorsqu’il ne peut pas trouver un air qui exprime ce qu’il veut dire, il le fait27. » On trouve ainsi, dans les partitions des ballets de Viganò publiées chez Ricordi, le nom de Viganò mêle à ceux des compositeurs illustres dont il empruntait les œuvres : Mozart, Rossini, Beethoven, Spontini, Haydn, et à ceux de ses compositeurs à gages : Lichtenthal, Weigl, Umlauf, Ayblinger, Brambilla ou ce comte de Gallemberg qui fut l’époux de « l’immortelle bien-aimée » Giuletta Guicciardi.
Je puis vous dire tous leurs noms. […] ÉRYXIMAQUE Tout ce monde charmant a bien d’autres noms !
C’est ainsi qu’on put lire, un matin, dans le Figaro,— l’ancien Figaro, — celui de Lepoitevin Saint-Alme et de Victor Bohain : « La séduisante madame Elie, qui était à Mon seigneur de Meaux, passe à Monseigneur de Cambrai. » C’est grâce à cette révélation, — pour laquelle on n’aurait pas aujourd’hui assez de foudres correctionnelles, — que le nom et les succès en tous genres de la « séduisante » ballerine sont arrivés jusqu’à nous. […] « Le général, ajoutait la feuille officielle, est mort dans les bras de la religion. » Dès ce moment, mademoiselle Legallois ne fut plus connue au théâtre que sous le nom de la religion.
C’est elle qui adressait la « rectification » suivante à une feuille du matin : « Monsieur le directeur, Dans un écho paru dans le numéro de votre journal, à la date d’hier, j’ai vu avec étonnement mon nom figurer parmi les belles petites ayant assisté aux courses.
» Est-ce sans raison que saint Augustin donne aux danses le nom de peste ?
Il est un auteur dont j’ignore le nom, et qui s’est trompé grossièrement en faisant insérer dans un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siècle, que la fléxion des genoux et leur extension étoit ce qui élevoit le corps.
Il est un Auteur dont j’ignore le nom & qui s’est trompé grossiérement, en faisant insérer dans un Livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siecle, que la flexion des genoux & leur extension étoient ce qui élevoit le corps.