/ 210
182. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-

Elle cherche des combinaisons de lumières et de couleurs les unes après les autres, sans fin.

183. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114

Ce saint écrivoit à la fin du deuxième siècle.

184. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Nos danseuses ont adopté le costume des Lacédémonienues ; elles sont presque nuës ; une gaze légère leur sert de jupes et les pirouettes sans fin soulèvent ces voiles légers et découvrent toutes les formes que la pudeur et l’honnéteté eûrent toujours le soin de dérober.

185. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Renonçant à son sérieux il devenoit léger, plaisant, enjoué ; conteur aimable, critique fin et adroit, il mordoit en riant, il égratiguoit en faisant patte de velours ; mais il ne se permettoit pas d’emporter la pièce.

186. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134

A la fin de cette scène nocturne, dont il est impossible de décrire les situations variées et les tableaux qui en résultent, l’Amour se trouve soudainement accablé de sommeil.

187. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Durey de Noinville, qui publia en 1753 une Histoire du théâtre de l’Académie royale de musique, déclare que, dès 1706, Brossard, à la fin de son Dictionnaire de musique, fait le dénombrement de neuf cent soixante-et-treize auteurs, anciens et modernes qui ont traité de la musique ; Brossard ajoute qu’il en a omis une quantité plus considérable que celle qu’il rapporte. […] Saint-Évremont commence ses observations sur l’opéra en disant que, quoique les sens soient agréablement frappés par son éclat et sa magnificence, cependant, comme l’esprit n’y trouve rien qui le touche ni qui l’attache, on tombe bientôt dans l’ennui et dans une lassitude inévitable ; mais une des choses qui le choquent le plus, c’est « de voir chanter toute la pièce depuis le commencement jusqu’à la fin, » comme si les personnes qu’on représente s’étaient ridiculement ajustées pour traiter en musique et les plus communes et les plus importantes affaires de la vie […] L’Opéra fit alors une courte halte dans la petite salle des Menus-Plaisirs ; de là il passa à la salle de la Porte-Saint-Martin, qui, commencée à la fin de juillet, fut achevée le 27 octobre : elle fut construite ainsi en cent jours, par les soins de l’architecte Lenoir. […] Depuis 1831, Robert-le-Diable, Gustave, la Tentation 6, la Sylphide, la Révolte au Sérail, Don Juan et la Tempête, adroitement combinés avec les meilleurs ouvrages de l’ancien répertoire, ont tenu jusqu’à la fin le spectacle rempli.

188. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

La fin des cascades fut le signal de la grande girande sur l’attique du temple, qui était composée de près de six mille fusées. […] Cette boutique était garnie de toute sorte de pâtisserie fine. […] Blanche, et occupée par la Souris l’aînée, et la du Coudray, marchandes de dragées et de toutes sortes de confitures fines. […] Ils s’unirent tous à la fin pour chanter leurs plaintes, et ce chœur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la fête. […] La fin fut marquée par plusieurs girandes.

189. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

Vers la fin de ce pas caractéristique, ceux qui l’exécutent, se rassemblent à l’entour de Tullus.

190. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Dans ma grande robe blanche, immobile, j’attendais la fin des applaudissements.

191. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

Sous sa lumière intense, les lignes fines et délicates s’atténuent et s’effacent jusqu’à l’insignifiance tandis, que les traits grossiers, accentués, mal équarris s’estompent et s’adoucissent jusqu’à la poésie… La rampe est fée.

192. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »

A la fin de chaque psaume, au lieu de chanter le Gloria Patri, tout le peuple chantait en langage du pays : san Marceau pregats per nous, è nous epingaren per bous ; c’est-à-dire, saint Martial priez pour nous, et nous danserons pour voue.

193. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

A la fin de la pièce, le soir de la première, nous jouâmes notre scène d’hypnotisme.

/ 210