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90. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Puis, sa physionomie changeait ; ses yeux noirs devenaient pleins de provocations, et sa bouche aux lèvres minces laissait apercevoir ses dents blanches.

91. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111

Pour les Hilarodes, ils entroient sur la scêne vêtus de blanc, avec une couronne d’or ; les Simodes avoient ce nom d’un Simon qui a passé pour habile chantre & très-bon danseur ; les Magodes se déguisoient en femmes, dansoient, chantoient & représentoient des choses extraordinaires qui tenoient du prodige, comme les enchantemens des Magiciens ; & les Lysiodes étoient des femmes qui se déguisoient en hommes, pour chanter & pour danser : ce qui introduisit insensiblement de grandes licences sur le Théâtre, qui tendoient à la corruption des mœurs, & contraires aux préceptes de la danse Théâtrale.

92. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Il est de marbre blanc ; des guirlandes de roses, de jasmins et de myrthes ajoutent à son élégance ; des colonnes sortent de la terre pour orner cet autel, et un baldaquin artistement enrichi, et porté par un groupe d’Amours, descend des cieux.

93. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Ce monument auguste est en marbre blanc, ainsi que les pyramides, les tombeaux et les urnes.

94. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Un nouvel autel paroît & prend la place de celui qui vient d’être détruit, il est de marbre blanc ; des guirlandes de roses, de jasmins & de myrtes ajoutent à son élégance ; des colonnes sortent de la terre pour orner cet autel, & un baldaquin artistement enrichi & porté par un grouppe d’Amours descend des cieux ; les extrêmités en sont soutenues par des Zéphyrs qui les appuient directement sur les quatre colonnes qui entourent l’autel ; les arbres antiques de cette Isle disparoissent pour faire place aux myrtes, aux orangers & aux bosquets de roses & de jasmins.

95. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Elle portait des gants blancs qu’elle n’eut pas l’occasion de quitter, de telle sorte qu’il fut impossible d’admirer la finesse de ses mains. […] Il fut persuadé que Gentz avait eu le sort à peu près inévitable des galantins à cheveux blancs.

96. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Par son horreur pour le désordre et le débraillé, par le soin que, jusque dans son extrême vieillesse, elle prit de sa personne et de sa maison, elle laisse l’impression d’une femme qui aurait traversé le monde toujours fraîchement gantée de blanc et attentive à ce qu’aucun faux pli ne dérangeât la correction de sa toilette.

97. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Il n’avoit pas plutôt jetté ses regards sur cette glace fidèle, qu’il étoit honteux de ses erreurs ; il n’hésitoit plus ; il jettoit loin de lui son turban, son armure, son bouclier et ses armes, et se précipitoit ensuite dans les bras de la vérité ; toutes les vertus qui font la gloire des Princes l’environnoient ; Bradamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les dames se réunissoient à l’entour des deux époux et des vertus ; ceci lormoit progressivement un groupe général varié de positions ; il offroit le tableau intéressant du bonheur ; les deux amans ensuite étoient unis par les vertus ; les daines présentoient à Roger un casque riche ombragé d’un panache blanc ; les chevaliers lui attachoient une magnifique cuirasse.

98. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

D’après mes idées, les frises où les plafonds offrant un plus grand espace entre eux, il seroit facile de les éclairer en couvrant les tringles qui porteroient les lumières, d’un fer blanc battu et poli, courbé en quart de cercle et propre à réfléchir les rayons de la lumière sur le théatre.

99. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

quel contre-sens que celui qu’offre le dieu Pan et une partie des Faunes et des Silvains de sa suite, avec des visages blancs, tandis que l’autre partie porte des masques bruns !

100. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Quel contre-sens que celui qu’offrent le Dieu Pan & une partie des Faunes & des Sylvains de sa suite avec des visages blancs, tandis que l’autre partie porte des masques bruns !

101. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

ses bras pâmés s’agitent autour de sa tête qui penche, son corps se courbe en arrière, ses blanches épaules ont presque effleuré le sol.

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